Six trucs sans importance

J’ai été taguée par Massir, tnkhanouf et ulyssen au jeu des six trucs sans importance. Je dois mentionner le règlement, six trucs sur moi et passer le relais à six autres personnes en allant les informer sur leur blog.

Règlement :

1-Mettre le lien de la personne qui vous a taguée
2- Mettre le règlement du jeu sur votre blog
3- Mentionner six trucs sans importance sur vous
4- Taguer six autres personnes à votre tour.
5- Les prévenir sur leurs blogs

Alors,

1- 1-Je suis souvent en retard même si je déteste ça chez les autres.

2- 2-Je dois obligatoirement ajouter de l’harissa, du sel et du citron à tous mes repas sinon la nourriture me paraît fade.

3- 3-Je collectionne les chaussures mais je reste toujours en baskets.

4- 4-J’adore regarder les dessins animés le matin avant de sortir de chez moi, c’est un passage obligé.

5- 5-La plupart des gens qui me connaissent m’appellent balouna parce au lycée j’étais un peu ronde et depuis cette appellation m’est resté.

6- 6-Je pleure souvent quand je vois un film même s’il n’y pas forcément d’histoires d’amour.

Allez je passe le relais à :

-kissa-online

-el barbech elkbir

-kibitz

-btb

-naufrage

-shadow


There is a new girl Town


Elle a tout d'une blonde et pourtant ce n'en est pas
une!

nouvelle compagne de jeu blogosphérique, très vieille compagne de route, de toute saison, toujours aussi fidèle malgré toutes ces années, toujours aussi attachiante mais on s'y fait.

Lola

Tous les hommes qui l'ont eu..

La traitent de pute maintenant

Parce qu'elle est chaude

Parce qu'elle aime le sexe

Mais contrairement à une pute

Jamais elle ne les a fait payer

Les nuits d'amour qu'elle a données


Thierry François

A chacun sa chouhha

Chouhha : esclandre, scandale, dénonciation

Personne ne peut nier les faits historiques se rapportant à l’extermination ethnique ou au génocide communément appelé Shoah lors de la seconde guerre mondiale.

Les documents, les images, les discours et l’instauration d’une mémoire collective participent à ce rappel d’un pan noir, plus que sombre de l’Histoire.

Je ne prétends pas vouloir discourir la dessus ni disserter des heures sur un fait avéré, même si le sujet est à manier avec précaution, loi Gayssot oblige.Mais la n'est pas la question

Elle ne se situe pas à ce niveau. Une nouvelle à la télé française datant d’il y a quelques jours et le post d’un bloggeur ont suscité quelque chose en moi.

Ce qui devait n’être au départ qu’un simple commentaire dans le blog en question, s’est transformé en post.

Le président français a pris soin, allant dans le sens de la commémoration de la Shoah, de demander, d’ « exiger » ( ????) que chaque élève français de 10 ans en cm1 (école primaire)se doit de se rappeler le nom d’un enfant juif mort durant la seconde guerre mondiale pour ne jamais oublier, en hommage à toute cette enfance sacrifiée.

Chaque enfant français va devoir prendre en charge d’une manière post-mortem la mémoire d’un autre enfant mort.

11 mille enfants juifs pris en charge par la mémoire collective enfantine française.

n'est-ce pas un lourd fardeau pour un gamin?

Pourquoi cette initiative en France?

Ne fait-on pas déjà un travail titanesque contre l’oubli de ces faits, n’a-t’on pas déjà dénoncé, pleuré, condamné, voué aux gémonies plus d’une fois ce génocide ?

Ne commémore t-on pas tous les ans, tous les 10 ans, tout le temps, quand l’occasion se présente, ces dates fatidiques ? N’en parle-t-on pas à la télé, dans les journaux, dans les films, au théâtre, dans les livres de ce fait ?

Pourquoi cet excès de zèle aujourd’hui de la part de Sarko?

Que cela veut –il dire ?

Quelle est cette peur de l’oubli tellement prégnante ? Ou est-ce encore cette culpabilité que l’on traîne depuis des décennies ?

Commémoration, prise en charge de la mémoire collective, MONDIALE d’atrocités barbares qu'il dit.

MAIS je me suis demandée naivement

Pourquoi est ce que cette mémoire est courte ?

Pourquoi ne voit-elle qu’à court terme ?

Y a-t-il une différence, des degrés de souffrance, d’atrocité dans la mort ?

Y a t-il une différence d’appellation entre un crime contre l’humanité et un autre ?

Pourquoi cette mémoire collective détourne t-elle le regard, se bouche les oreilles et oublie de se rappeler tous ceux qui ont crevé et qui continuent de le faire tous les jours, à chaque minute, à chaque seconde ?

(Avec tous mes respects pour ces millions de gens morts exterminés on aurait pu être à leur place)

Pourquoi fait-on une chouhha( à la tunisienne) d’un génocide au risque d’en oublier un autre ?

Pourquoi ne pas faire une CHOUHHA (scandale, dénonciation) des horreurs perpétrées

En Afrique (génocide rwandais)

En Arménie (tout juste bon à en parler quand il faut taper sur les doigts de la Turquie)

En Palestine (combien d’enfants sont morts depuis 1948 ???)

En Tchétchénie,

En Irak

Au Liban

En Bosnie

En Algérie

Au Vietnam,

En Indochine

Et les autres

Et les autres

Et les autres

Ma mémoire à moi est courte

Qui pleurera les autres ?

Qui fera un travail de mémoire

D’archive ?

Qui essaiera de ne pas les oublier ?

Qui se rappelera de leurs noms ?

Un meurtre restera toujours un meurtre, un crime odieux quelque soit sa couleur, son odeur, sa race ou sa religion.

Un Mort sera toujours un MORT.

Silence,

Silence, ça dort

Silence, de mort.

saluons l'initiative de Mr Sarkozy.


لا نحبك و لا نصبر عليك


أنثى

نحبك

نموت عليك

نعشقك

و نموت فيك

أنثى

روحي

عقلي ليك

نعبدك

نشتهيك

و نذوب في ريحتك

شعرك

كلامك

خطواتك

و خيالك

أنثى

تعلقت بيك

و رميت روحي

كبشت

كبشت

حبيتك

و ما جريت

أنثى

كرهتك

و بكيت

حقدت عليك

و سبيت غيظي فيك

محيتك من روحي

لكن ما كافيش

أنثى

كرهت

صورتك و ما فيك

نمقتك

و نبخّر بريحتك

نسبّك و ننحيلك والديك

نعفس عليك بسباطي

و نبزق عليك بكلامي

ننبزك

أنثى

نشتمك

و نعبث بيك

نشطحلك بدوّارتك

و نستفعل فيك

نكرهك

نموت فيك

نذوق العذاب

نشعل فيك النار

نمقتك

و نبول عليك

نخافك

نحير

نضيع

نريح

و ما نعرفش

نبوحلك بعجزي

عجزي قدامك

عجزي في فهمانك

أنثى

مفتون بيك

مهبول بريحتك

نمقطك

و نقتل كل ما فيك

S D F

S D F

Pris en otage

Lèvres cousues

Mots ravalés

Camisole de force

Corps désarticulé

Posture grotesque

Tête embrumée

Nuage de fumées

Hallucinogènes

A la chaîne

Yeux scellés

Défigurés

S D F

Corps automates

Produits formatés

Machines à consommer

Culture du jetable

Evanescence

Mémoire de l’oubli

Mémoire de l’effacement

Programme de désintégration

Corps en otage

Vampirisation

S D F

Corps en otage

Numéros de série

Bons à se bouffer le nez

A tourner en rond

Sans jamais émerger

Se consommer à petits feux

Instincts primaires

Compromission et lâcheté

Le silence

Le silence

Le silence

Apparent, docile, modelé

Instrumentalise

Le vacarme

Tapi

Ravalé

Assourdissant

Dans un carcan

A ciel ouvert

S D F

Corps en otage

Oies gavées

Vieux chiens enragés

Griffes et crocs arrachés

La queue entre les pattes

Et le regard anesthésié

Corps en otage

Mort vivant

Dans matières fécales

Vendre son âme

Automates disciplinés

A l’école de la langue hachée

Vider sa vessie

Aux quatre coins de la ville

Imprimer sa marque

Sur le corps de sa femelle

Sa pute

Placer son honneur

Entre ses genoux

A défaut d’apposer

Son sceau sur son histoire

Tenir debout

Lutter, ne pas déchoir

Pourriture en marche

S D F

Liquéfaction

De la Pensée abimée

S D F
muets

Dénudés

Outragés

Par les assauts répétés

D’un viol

Devenu un quotidien routinier

Langage de sourds

Aux temps primaires

Garder sa rage

Au ventre

Pour ne pas

Succomber

A l’état comateux

Dénuement

S D F
avec consentement

se la boucler

Sans Dignité Fixe

rouge sang

Jardin d'hiver


Je voudrais du soleil vert
Des dentelles et des théières
Des photos de bord de mer
Dans mon jardin d'hiver

Je voudrais de la lumière
Comme en Nouvelle Angleterre
Je veux changer d'atmosphère
Dans mon jardin d'hiver

Ta robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Mes mains qui courent
Je n'en peux plus de l'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre

Je voudrais du Fred Astaire
Revoir un Latécoère
Je voudrais toujours te plaire
Dans mon jardin d'hiver

Je veux déjeuner par terre
Comme au long des golfes clairs
T'embrasser les yeux ouverts
Dans mon jardin d'hiver

Ta robe à fleur
Sous la pluie de novembre
Mes mains qui courent
Je n'en peux plus de l'attendre
Les années passent
Qu'il est loin l'âge tendre
Nul ne peut nous entendre


Henri Salvador

2000 "Chambre avec vue"

l'ultime secret

Viens,

Viens sur mon corps amoureux

Y graver ton empreinte

Viens

Poser tes mains

Te couler entre mes reins

Te fondre et me couvrir

De ton venin

Viens,

Creuser tes sillons

Et instiller

A coups de fusain

Et l’or de ta bouche

Et la sève de tes reins

Viens te fondre

Entre mes mains

Apprendre

Le chemin

Ombre et lumière

Aspire

Au calme sur mon sein

Et garde mes traces

Sur tes veines

Contre ton dos

D’or et d’étain

Ecris l’Histoire de tes mains

Déverse-toi

Sur mes rives

Suspendre le temps

La tempête de ton désir

Me rend ivre de toi

Brûle ma peau

Brûle

Enchaîne-moi

A ton souffle

A ta voix

Aliène-moi

A tes murmures

Rends-moi

Indélébile

Marque de naissance

Emblème de ma trace

Œuvre, ivre de nos liens

Sans cesse dénoués

Liés à en perdurer

nu

tu es

nu sous mes mains

Suspends le temps

En un instant d’éternité







Et je vais et je viens

Entre tes reins

Rien ne me retient

Alliance de nuit sacrée

Rêve sublimé

Désir incontinent

A ta peau

Nue

Tu es

Nue sous

Mes mains

Délivrance

J’y suis ancré

Ton encre coule

Sur ma nudité

Embrasse et mon être

Et mon corps

Soudés au tien

Qui me happe

Qui m’aspire

Règle

Ton rythme au mien

Ton ambre

Envoûtant

Pour unique parfum

Ta marque comme unique lien

Pour emblème souverain

Morsure

De mon âme

Aux dents de ta faim

Te remplir

De mon essence

Al ‘aube d’un

Nouveau matin

Eteins

Ma haine

Ma soif

Efface

Ma honte

Et mon chagrin

Ecrase

Mes larmes

Fais-en

La source

Que tu sèmes sur

Mon corps étreint

Délivrance

Jouissance amère

Que tu allumes

Et éteins

D’un geste amoureux

Sur l’embrasement vain

D’un geste

Tu le calmes

Effroyable aimant

Folle dérive

Auxquels je me maintiens

Sublime alliage

Jusqu’à l’ultime grain

Et je vais et je viens

Entre tes reins

Unique refrain

Dans le silence

Ressuscité

Aux sons plaintifs

Unique et vibrant refrain.

A une passante


La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le
feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un
extravagant,
Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! – Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard !
jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
O toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Tableaux Parisiens, XCIII

charles Baudelaire, Les Fleurs du mal.


A Selma

réponse d'une "déchaînée" à Ulyssen



Cher Ulyssen aux milles sirènes (mala réputation hassilou et ça rime en plus!)

Je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres filles mais mon post est purement ironique, au 2eme voire 333333333eme degré. Je fais de l’ironie et j’ai bien peur que rares sont ceux qui ont décelé l’humour derrière ce texte.

La fille que recherche le jeune homme dans son annonce ça aurait pu être moi. :) On est parfois tellement dans l’histoire que l’on voit plus les défauts (pour ne pas dire les catas) de l’autre. On accepte certaines choses par amour ou par je ne sais quelle autre raison stupide. La faute est parfois partagée, chacun accepte certaines absurdités chez l'autre et continue à ruminer et à se plaindre dans son coin. La fille, si ça la dérange, n'a qu’à ne pas se laisser faire.faut assumer parfois!

Je suis d'accord avec toi sur certains points mais je pense que le problème ne se situe pas à ce niveau. Trêve d’ironie et de plaisanterie, je pense qu'il faut éviter la généralisation : y a du bon et du mauvais partout (tu parles!! )

La créature caricaturale (je dis bien caricaturale!!!!!) dans le post précédent et celle chez toi qui adore elfouss existent peut être, j’en connais deux ou trois qui répondent parfaitement à ces normes. ;)

N’empêche que, je ne veux pas être désabusée (de quoi, de qui, à mon âge ? ça serait bien grave) et je reste intimement convaincue (c’est mon côté naïf et mickey) que les personnes intéressantes (encore faut il savoir ce que ça veut dire) existent. ou? ou? ou?

Personnellement, je n’ai rien à reprocher aux hommes en général. Bien au contraire, je les aime beaucoup même et je recherche souvent leur compagnie. Ils peuvent être adorables quand ils le veulent (ils devraient l’être plus souvent).Je n’ai rien d’une féministe acharnée et je ne suis pas membre des chiennes de garde, je ne défends aucune cause féminine si ce n’est la mienne à moi toute seule.

Voilà ou le bât blesse : ce qui m’hérisse parfois chez la gente masculine (ceux de mon entourage, parent, ami, ex) c’est une conduite pas toujours très claire, très spontanée et franche, un discours pas toujours en conséquence avec certains actes. J’y comprends rien parfois, je suis déroutée (ai-je raté un épisode ?) je tâtonne dans le noir, je me prends la tête à vouloir comprendre ce qu’ils sont bien voulu dire. J’y perds, et mon français et mon latin et l’esprit.

Mais qu’est ce qu’il veut celui-là ? Moi? ma copine?, les deux au prix d'une ?? Sortir avec moi ou juste faire copain copain ? Heu, non là apparemment c’est plus pour jouer au docteur et à l’infirmière ! Mais comment décoder, zut ? J’ai oublié mes lunettes à décodage du cerveau masculin à la maison !

Et je précise, je ne critique pas une mentalité donnée. Ce n’est pas mes affaires, kol wahed horr fi hyetou. Je ne veux pas juger quelqu’un sur ses valeurs et principes et je voudrais que l’on fasse de même pour moi (je peux toujours courir !).

Dans le respect de chacun, dans la tolérance, l’ouverture d’esprit, le civisme, la maturité des idées( ça veut dire koi ça ??) et bla bla bla bla bla ! toutes ces conneries à deux balles que l’on me sort à chaque discussion quoi !

Certains me diront, Habib y compris, vous les filles c’est pareil, trop compliquées, hermétiques jusqu’à devenir des sibylles, messages subliminaux ( ???? tu nous fais passer pour des sorcières, des laveuses de cerveau ? si ça marchait, je l’aurais déjà utilisé ce truc)) jamais satisfaites, contradictoires, un non veut dire oui et inversement, hystériques, pleurnichardes, matérialistes et j’en passe.

Ne réduisons pas cela à une simple joute verbale, ou l’on se lancerait la responsabilité les uns aux autres. Je ne voudrais en aucun cas être le porte-parole des filles (chacune est libre de ses idées et je ne voudrais m’enrôler sous aucune bannière). Personne n’est pareil, tout le reste n’est que stéréotype (ma créature caricaturale y compris et je suis sure qu’il doit avoir un bon fond cet idiot !), généralisation et quelques cas sur 10.

Le problème réside peut-être dans un manque de communication dit le docteur es-spycholopsychiatricohystéricons Mariem2Bariz d’un air très docte, un manque de sincérité, de franchise de part et d’autre. Pourquoi tourner autour du pot quand on peut aller droit au but ?

Oui, on aime bien être chouchoutées mais pas trop, un mec qui est trop présent finit par lasser, un autre pour qui nous ne comptons pas devient l’Elu( y3atih sa5ta !). Je vois ce que tu veux dire. Pas besoin de vous guider, être à l’écoute suffirait un tant soit peu avec de la patience de part et d’autre et de l’envie surtout de comprendre ce qui régit et l’un et l’autre. Une bonne et franche discussion s’impose, sans prise de tête, sans monter sur ses grands chevaux.

Mais encore faut- il avoir le courage d’assumer ce que l’on est. Si la pleurnicharde veut bien expliquer à son copain ahuri (qui n’y comprend plus rien et se demande qu’est ce qu’il a fait au bon dieu) pourquoi elle voudrait qu’il soit plus présent qu’elle le fasse, si le type n’est pas d’accord avec certains aspects de la mentalité de sa chérie, qu’il le lui dise en toute honnêteté. Et si la fille veut pas d’un mec trop collant qu’elle l’explique (gentiment quand même, pas la peine de le faire pleurer !!!)

Si cette fille veut un type riche qu’elle l’assume et si l’autre voudrait faire savoir à une demoiselle qu’il la veut, qu’il se bouge les fe…..s mais qu’il ne passe pas son temps à changer d’avis non plus (on n’a pas que ça à faire) Ou alors qu’il passe son chemin. Et si encore il décide qu’elle ne lui plait plus, qu’il le dise clairement (ta3mlou 3alina akber emzeya)

Pas besoin de le porter écrit sur son front mais une attitude directe, franche si j’ose dire résoudra ptet pas mal de problèmes. En tout cas, certains de mes problèmes à moi. Je me prends une claque dans la tronche (que je m’administre toute seule bien évidemment, messieurs étant occupés à s’auto-admirer dans mes posts). À quoi cela sert-il d’être directe, franche, aller droit au but, essayer de parler de tout, quand le vis-à-vis peine à assumer ce qu’il veut ou pire ne sait pas ce qu’il veut ?

Comment puis-je demander (exiger serait de l’ordre de l’impossible) à qqun le même comportement que moi puisqu’apparemment ça relève de l’utopie ?

C’est pourtant aussi simple que 1+1=2 même si je persiste à penser que 5 fois 6=21, on en refait pas, je sais (pour ceux qui ont raté cet épisode).

Mais je préfère plutôt miser sur la fin de la guerre en Irak que de croire à un réel changement dans ce genre de rapports. J

Cher Habib, je t’apprécie énormément ainsi que ceux qui font partie de la bande des dingos (voir plus bas) et le reste de la smala masculine de la Tunisie et du reste de la planète et tu me connais assez pour savoir que je n’ai rien d’une enragée qui aime pas les hommes.

p.s: je ne cherche pas le prince charmant ni le prinche pas trop, pas assez charmant! pas encore en solde.

marhba fi mssiba land!!!

J’écris ce post en signe de contestation et en réponse aux posts de deux de mes consœurs. Elles m’ont inspirée .

J’ai trouvé qu’elles portaient un sérieux coup à l'image de l'homme. Cette histoire me dérange quelque peu. Avec tout le respect que je leur dois (solidarité féminine oblige) je ne suis pas d'accord avec ces demoiselles et je tiens à leur dire que tous les hommes ne sont pas pareils et qu'il ne faut pas généraliser. En voici la preuve tirée d’un fait réel :

Jeune homme de bonne famille, conservatrice, bien élevé dans les traditions les plus respectables, ayant un avenir radieux, un très bon poste et un cursus universitaire plus que plaisant, une voiture populaire et un appartement au-dessus de chez ses parents :


cherche une fille de bonne famille, belle,

intelligente (pas trop quand même, y a des limites),

pudique

polie

aimant les oiseaux, la nature , le 3Osben, les 7lou que fait sa belle-mère et la philatélie

pas trop chiante( de préférence muette et sourde, aveugle ça serait le top du top) !)

pas prise de tête( pas de questions à longueur de journée)

pas assez éduquée pour pas déranger sa virilité intellectuelle ( bac moins six serait l’idéal)

pas assez expérimentée

pour pas le déranger( ama miselech ken ta3ref ou ma tchala9chi)


assez mince( pas trop quand même, y7eb ki yméd yédou yal9a floussou)

par endroit et bien lotie par le haut (plus c’est gros mieux c’est)


qui ne sort jamais de chez elle

qui n'a jamais fréquenté de mecs de sa vie


qui est vierge de coeur, de c…l, de bouche et d'oreilles

(désolée, j’ai dit quelque chose qui fallait pas ?)


qui veut bien accepter un homme casse bonbon (puisqu’elle est censée être casse noisette)

qui ne se plaindrait pas de ses infidélités (mais non, c’est juste qu’il est très sociable c’est tout)


de son irresponsabilité (non quand même, ça existe encore ça ?)

de sa connerie congénitale (si c’est héréditaire, y a rien à faire)

de son manque d’envie de s’engager (c’est trop tôt qu’il dit, non sans blague ???)

de son manque de savoir vivre (pas pris assez de cours apparemment, faut prendre des cours d’outide)

de ses manières d'homme de Cro-Magnon (c’est bien le machisme mais quand même faut pas exagérer)

de ses complexes à gogo de mâle blessé dans son orgueil par le code du statut personnel( yarham bourguiba)


par ses incessantes parties de chkoba au café et de chicha qui pue (ce n’est pas une attaque directe, je me suis juste inspirée de faits réels ;)) )

par ses chaussettes qu'il garde au lit( ça arrive)

et sa mère super étouffante (la mienne est adorable par contre)


elle se doit d'être respectueuse, servile de préférence

savoir la fermer quand il le faut

aimer le foot mais sans jamais dire de gros mots en regardant un match


ne pas lui casser les c…les avec ses problèmes de cheveux

de vernis à ongles, de la robe à porter au mariage de sa cousine Abir

de son besoin d’amour et de câlins

de regards amoureux et attendris

de poèmes et de bouquets de fleurs(putain, qu’est ce qu’elle croit cette conne ? ça coûte cher !!!!!!!!!!!)


par ses nombreuses conquêtes dont il lui parle à longueurs de journée (ceci est un pur récit fictif)

pas trop habillée( pas de décolleté ni de vêtements près du corps ça fait tofla pas sérieuse et de mœurs légères, la ywarrina !!!) mais assez bien pour ne pas lui foutre la honte devant ses copains


pas pute mais assez expérimentée pour qu'il s'ennuie pas

assez patiente pour supporter son humeur et ses caprices de gamin mal torché (adolescence tardive)


très bonne cuisinière et excellente femme de ménage

très bonne mère pour s'occuper des 7 enfants qu'ils auront

donc assez féconde pour renflouer l'équipe nationale de football (elfari9 al9awmi)


toujours aussi fraîche après 20 ans de mariage et pas un kilo de plus

prête à accepter un éventuel ménage à trois à tout moment( ça serait la fille idéale)

assez conne pour accepter ses oublis d’anniversaire, de sorties restos, de gratitude


assez conciliante pour passer derrière lui ramasser et les chaussettes (celles qu’il portait au lit) ses caleçons et son assiette

assez docile pour fermer les yeux quand il drague la voisine


pas assez salope pour aller voir ailleurs (connasseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !)

assez maso,assez désespérée pour se contenter de ce charmant prince charmant que tout le monde lui envie.


ceci est un vibrant hommage à tous les hommes de ma connaissance, merci de nous donner autant de bonheur. :))

n.b: ceci est un récit purement fictif, toute ressemblance avec des faits ou des personnes ayant existés ou existants n'est que pure coincidence.



Les maux aphones



L’absence des mots

M’écorche la langue

L’absence des mots

Me laisse sans voix

L’absence des mots

Me pelle la peau

Me noie de silence

Et me courbe le dos

L’absence des mots

Me brûle à feu doux

Me gèle le coeur

Me vide de non- sens

Et me prive de mes maux

Les mots à la bouche

Ne me comblent

Ne me touchent

Me restent en travers de la gorge

Me désertent

Se refusent

Et se dérobent

S’auto-dévorent

Pour mieux me semer

Incultes pédants

Me boudent

Me rient au nez

L’absence des mots

Me rend aphone

Et me sème aux vents

M’éparpille sur la page blanche

M’évide de mon encre

De chine

De sang

Ma douce purpurine

Me sert de garde chiourme

De tyrannie intime

Et de précoce tombeau.

Quand certains blogueurs se prennent pour des acteurs de JUNUN

Lorsqu’une crêpe au sucre, blogueur de son état, appelle un membre de sa communauté blogobousouférique, une fille qui n’aime pas qu’on lui tripote les cheveux, pour aller voir un film tiré d’une pièce de théâtre, on peut s’attendre à ce qu’ils passent une bonne soirée kiltirelle sans plus ponctuée de France rigolade crêpesque et chevelue. Mais rien ne se passa comme prévu, personne n’a vu venir le délire de ce fameux Samedi 2 Février.

Lorsque la crêpe sucrée appela son amie chevelue pour lui proposer ce plan, cette dernière s’empressa d’ameuter le reste de la secte blogobousouférique, en l’occurrence la fille qui ne manque pas d’air, celui qui attend encore sa Pénélope,l’œil indiscret et futur innovateur de téléphone bleu




et une fausse blonde, très bonne amie à elle (blogueuse qui préfère rester anonyme) plus connue sous le nom de deb asfer.

Le programme débuta par un charmant café sur l’avenue Habib Bourguiba de Tunis(ou est ce que la crêpe est elle allée chercher l’avenue de Monastir ???). L’avenue est connue pour ces cafés pas chers du tout, pour ses bars tellement accueillants (la crêpe et le l’œil indiscret peuvent le confirmer), pour sa promenade paisible sous les déjections de ces adorables petits zoizos.

Bref, la crêpe, la fille qui tient à ce qu’on laisse ses cheveux tranquilles et la fausse blonde s’assirent pour boire leur café en attendant le reste de la secte. La fille qui ne manque pas d’air avait prévenu qu’elle ramenait un autre membre, le fan des strings en léopard (on a eu peur qu’il ne vienne déshabillé de la sorte en pleine avenue, on ne voulait pas terminer la soirée fel BOst pour atteinte aux bonnes mœurs).

Deux heures plutard, et quand monsieur string en léopard daigna arriver avec la fille

qui ne manquait décidemment pas d’air, on se mit à discuter de tout et de rien et on

finit par s’ennuyer (la conversation s’apparentant plus à de la pseudo-masturbation

intello qu’à autre chose) alors ils décidèrent de délirer un peu histoire de se connaître

un peu plus. Et là, c’était parti en sucette : La crêpe avoua son plus grand secret, il

était un fan inconditionnel des uniformes de ….serveuses de tout genre.

D’ailleurs, il avait commencé à draguer la serveuse du coin avant de faire les yeux doux à la fausse blonde. La fille qui aimait bcp ses cheveux se fâcha parce que personne ne la draguait et elle partit bouder aux toilettes ou elle se retrouva dans le noir, panne de courant oblige. Pas facile de viser et faire pipi correctement dans ce cas !!!

La fille qui ne manquait pas d’air eut plus de chance que la pauvre brune coincée dans le noir, elle subit les regards énamourés du fan des strings en léo parce que chez elle, il y avait du monde au balcon (comprenne qui voudra, je ne vais pas faire le dico e plus !!!).

Celui qui attendait sa Pénélope et que tout le monde attendait fit chier tout le monde justement parce qu’il ne voulait pas venir. La fille aux cheveux très bien coiffés, boudant toujours, décréta qu’elle avait faim et que le film allait commencer et que 5 fois 6 ça faisait 21 (la pauvre avait obtenu un bac lettres, ça se comprend !).

La fausse blonde avoua qu’elle les aimait bruns, très bruns et bien mousclés alors la crêpe en sucre, fan de serveur en profita pour lui parler de son cousin célibataire Captain Bassem, grand rival du Captain Majed (le premier épisode est chez la crêpe sucrée obsédée par les serveuses).

Le fan de string, réservé jusque là, déclara que personne n’allait voir le film, que puisque la fille qui n’aimait ni ses cheveux ni les autres avait faim, toute la smala devait aller diner.

Chose dite, chose faite (le fan des serveuses réussit quand même à avoir un num de téléphone du serveur du coin !!!!), tout ce beau monde embarqua dans la voiture avec un invité de plus, le gros mangeur émigrant vers le Kef, et ami de la fille à cheveux.

Direction une banlieue supposée chic de la capitale. Premier pépin en route, le fan de

string grilla un feu rouge, se fit arrêter par une fliquette et dût la baratiner pour ne pas

avoir de contravention en lui faisant du charme pendant que les autres se marraient

dans la voiture. Il avoua bien plus tard et sous la contrainte qu’il aimait bcp les filles

en uniforme (encore ???) en imprimé léopard de préférence et qu’il ne trouverait le

bonheur, un jour, qu’avec une fliquette en bas résille.

Trois bagarres et deux malentendus dans la voiture :

-le désormais tristement célèbre fan des strings et des uniformes interdit à tout le monde de fumer dans la voiture--------deux voulurent quitter la voiture par la fenêtre pour montrer leur mécontentement.

-la crêpe désormais rebaptisé amoureux des serveuses décréta qu’il était le plus heureux des hommes parce qu’il était assis au milieu de la fille qui ne manquait pas d’air et de celle à cheveux, lui servant d’airbags latéraux, ce qui fâcha les autres garçons qui voulurent le faire descendre à cause de sa fausse modestie.

-gros malentendu atteignant la crise diplomatique : la fille qui n’aimait pas que blabalaba parla d’une « grand-mère tombée ???!!!!» et la crêpe comprit « que la grand-mère du fan des uniformes était tombée enceinte » ! Crise de nerf et le dîner faillit être annulé et tout le monde faillit rentrer en bus ou par le 11.

La soirée s’annonçait bien, le resto avait un cadre agréable. La bouffe était très bonne. L’ambiance devenait délirante. L’émigré vers le Kef faisait du pied et clignait des yeux à la fille qui ne manquait pas d’air, la crêpe délirait et essayait d’expliquer à la fille qui décidemment en avait marre qu’on touche à ses cheveux la définition de Laly Berthé.

L’œil indiscret avait fini par ramener sa fraise en retard regardait la fille qui manquait pas d’air chanter à tue-tête pour accompagner l’orchestre. C’est alors que la fille à cheveux complètement décoiffés par les soins de ses amis décida de se lever et danser. L’émigré inventa un jeu à base de cigarette et de nez.

L’œil sans son appareil pour une fois essaya de kiltirer la fille chevelue dansant sous la table au sujet d’une exposition érotico-porno-intellectuo-artistique.

Le fan des uniformes, comme tout le monde s’en doute, s’emmerdait à mourir parce qu’il ne voyait aucun uniforme à la ronde, voulait rentrer et se promettait de ne plus sortir avec ces petits dingos. Ça parlait de sujets frisant l’indécence, contraires à la bienséance, ça flirtait de partout, ça criait, ça chantait, ça mangeait bcp, et ça disait n’importe koi et ça promettait d’écrire tout ça dans un post. Il y avait de koi avoir peur. Les bloggeurs, même partis en délire, savaient tenir à leur réputation (????!!!! ah bon ?).

Deux heures plus tard, le fan des uniformes à bout de nerf parvint tant bien que mal à extraire

ces joyeux lurons du resto et ils faillirent partir sans payer. Ils ne voulaient plus rentrer et le fan

des uniformes se demandait ce qu’ils avaient bu ou fumé, il les avait bien surveillés pourtant et il

soupçonna le Schweppes tonic servi au diner.

Le fan des serveuses tomba dans un trou à force de rire et ils eurent du mal à le relever.

L’œil indiscret promit à la fille qui avait fini par cacher ses cheveux traumatisés sous son capuchon qu’il lui inventerai pour son anniversaire le service du téléphone bleu (existant déjà en version rose pour les garçons).

La fille qui ne manquait pas d’air finit par avoir des hallucinations et par voir des éléphants roses partout, le fan des uniformes s’empressa de lui expliquer patiemment que c’étaient des strings roses.

On décida de lancer la crêpe dans l’eau du lac pour bien terminer la soirée et la fausse blonde se lamenta via le téléphone pour n’être pas venue avec eux.

Le fan des strings en uniforme faillit se casser la gueule en dans la rue et tout le monde eut droit à un gros mot et on finit par ramener l’émigré vers le Kef à l’aéroport pour rattraper son vol pour Montréal.

On ne parvint à se quitter qu’en promettant de ne pas faire pipi dans la voiture à force d’avoir ri et d’essayer de ne plus boire de Schweppes à l’avenir même sous la contrainte.

Il est inutile de vous dire que c’était de l’impro et que la plupart se sont surpassés, que personne n’était ivre ni sous l’effet d’une quelconque substance d’origine hallucinogène, l’inventeur du téléphone bleu, peut être mais les autres étaient tous clean.

En fait, il existe deux autres versions plus dingues, cette fameuse soirée du samedi chez la crêpe sucrée apprenti serveuse et la fille qui ne manque pas d’air.

Enjoy



Et pendant tout ce temps, Cupidon se grattait les noisettes

Dommage de l’avoir retrouvé, Dommage qu’indifférent il ait été

Dommage qu’elle l’ait souhaité,

Dommage qu’il ne se l’ait pas, à lui, attachée

Dommage qu’il ne l’ait pas vu, elle, lui sourire,

Lui faire toutes sortes de grimaces

Et qu’il ne se soit pas laisser noyer De bons sentiments

gluants Bien dodus Tout rose bonbon

Dommage qu’elle ne l’ait jamais vu la penser,

Dommage qu’il ne l’ait pas de ses bras entourée

Qu’il ne lui ait jamais rien chanté,

En étant complètement bourré

Dommage qu’il ne l’ait jamais regretté

Dommage qu’elle n’ait pas senti l’odeur de sa peau

Et qu’il n’ait pas su de quel bois elle se chauffait

Dommage qu’il n’y ait pas eu de suite logique À cette belle matinée de ce mois printanier, ensoleillé

Dommage qu’il ne se soit pas perdu en elle

Dommage qu’il et elle, ne se soient jamais querellés, Pour mieux dans les bras de l’un et de l’autre (re)tomber

Dommage qu’il n’ait pas su apprécié ce qu’il a vu, Dommage qu’elle n’ait, de ce qu’il est, voulu

Dommage qu’il n’ait frôlé ses lèvres qu’un instant

Dommage qu’il ne sache pas les contours et les replis De son cœur,

ni qu'il ait mémorisé la géographie de son corps

et ses plus profondes pensées

Qu’il n’ait jamais rigolé De ses blagues douteuses, de ses doutes

Qu’il aurait pu affectueusement Apaiser tout en étant amusé De se farcir une pareille calamité

Qu’ils n’aient jamais fait les 4 cent coups

Dommage qu’il ait toujours fait semblant Devant la limpidité de certaines vérités

Dommage qu’elle ne soit jamais endormie à ses côtés

Dommage qu’il ait fait le con Quand il fallait peut être se barrer

Dommage qu’ils n’aient fait que se croiser toutes ces années

Dommage qu’ils n’aient aucun futur et encore moins un passé

Dommage qu’elle ne lui ait jamais demandé de rester

Dommage qu’ils aient constaté, cyniquement, leur incompatibilité

Dommage qu’ils n’aient aucun souvenir à chérir A rêver

Dommage qu’elle l’ait regardé s’en aller Un sourire narquois aux lèvres Les yeux dessillés

Dommage qu’ils n’aient jamais eu rien à se raconter

Dommage qu’il ait été le gardien de la mémoire, désabusé

Dommage qu’elle ait renoncé sans avoir jamais (dé)essayé

Dommage qu’il revienne parfois Pour mieux foutre le bordel

Pour mieux mettre les pieds dans le plat Pour se foutre le doigt dans l’œil Comme à chaque fois

Dommage qu’il n’ait jamais rien compris

Au mode d’emploi de la gonflable poupée

et qu'elle ait laissé faire, parce qu'elle s'était, à ce petit jeu, lassée

Y a de quoi rigoler

Dommage qu’il n’ait pas annoncé la couleur dès les primaires

Boulot bien fait

Que ce soit aussi absurde Quelconque Banal en fin de compte

Y a pas de quoi pavoiser

Dommage qu’il n’y ait pas eu de dégâts collatéraux

Et que le certificat de garantie soit périmé

une étreinte entre deux portes

voilà à quoi ça s'est résumé

Dommage que ces faits l’inspirent, elle, au point de vouloir les griffonner

Et que, lui, va

Comme d’habitude

Zapper.

Et pendant tout ce temps,ce morveux de Cupidon,

en manque d'inspiration, se les grattait.

Centre de tri

Compteur

La boîte à tralala

Quelques rêveurs de passage