duck and dog



l'amitié ne connaît pas de limite ni de frontière et peut donner lieu à des unions improbables sans aucun point commun apparent
:)
c'est trop chou!

petit poème sur le mur d'une gare à Paris...


Dans la source de ton esprit
j'aurai bien aimé tremper ma langue,
Aller au fond... profond...
Boire et me soûler
Dans les recoins
Les plus secrets,
Les plus discrets,
Trouver une goutte d'amour oublié,
M'assouvir...


à la personne qui a pensé à moi en écrivant ces quelques mots...
pas à toutes celles à qui j'aurais voulu dire ces mots et qui n'en veulent pas...
à celle qui viendra surement un jour me démontrer que l'on peut y croire encore...

NO COMMENT!

photo récupérée sur le net et manipulée par l'équipe technique de ZICCO production.

cliquer sur l'image pour l'agrandir, c'est encore plus marrant en grand :)

ce genre de scène est très courant à Paris, vu le nombre incroyable de touristes qui affluent du monde entier: deux mondes qui se cotoient mais tellement différents et à l'opposée l'un de l'autre, deux cultures, deux mentalités en total désaccord.....

ils sont marteau ces gaulois!


je reviens de vacances dans le sud de la France, dans la région de l'Hérault ou j'ai passé deux semaines très agréables.
je me suis pas mal baladée à droite et à gauche et j'ai pris enormement de photos, visité pas mal de petits villages plus charmants les auns que les autres et même assisté à une abrivade, la première de ma vie au terme d'une fête gigantesque de 5 jours dans un petit village appelé les Matelles de 1500 habitants.
L'abrivade (voir ici) est une tradition dans cette région de la france et souvent pratiquée lors des fêtes de village. de l'espagnol abrivados, elle consiste à un lachage de taureaux ou vachettes en plein centre-ville ou place du village pour une course à laquelle participent tous les habitants.
c'est certes assez dangereux mais amusant!
les gardians (hommes à cheval sur les photos, c'est ainsi que l'on les appelle ici) partent ensemble et groupés d'un point donné essayant de garder le troupeau de taureaux rassemblé alors que les jeunes du village tentent témérairement d'arrêter le taureau en pleine course quitte à le tirer par la queue et à se mettre en danger.
c'est un spectacle à voir en tout cas et je n'ai pas regretté d'y avoir assisté.
entre deux lachages de taureaux d'un point à l'autre de la grande artère de ce charmant village des Matelles ( dont les habitants sont très sympas et fort accueillants), la fanfare locale en profitait pour mettre un peu l'ambiance, pontué par les cris des spectateurs ( ollé) à chaque passage d'un gardian ou d'un taureau que les jeunes ont stoppé dans sa course. certains habitants etaient en tenue du siècle dernier comme ces jeunes filles qui ont bien voulu poser pour moi.



cette photo montre les jeunes du village au prise avec un taureau qu'ils ont réussi à arrêter dans sa course et sur lequel ils se jettent tous au péril de leur vie. faut vraiment être dingue pour faire ça!!!!
je sais que la photo n'est pas très claire mais le taureau est la forme noire au milieu des jeunes qui lui tirent la queue.













les quelques taureaux qui ne se laissent pas faire se retrouvent grâce aux gardians poussés dans des vans à l'autre bout de la rue. nous, nous étions derrière les barrières (premières phtos) en train de profiter du spectacle au son de la fanfare.
fin de l'abrivade, tout le monde se congratule, commence alors la parade des gardians sur leur chevaux et l'attribution du prix de la meilleure manade (groupe de gardians) qui a su protéger ses taureaux des jeunes gens et mené son troupeau au complet dans les vans.
ensuite, c'est la fête qui reprend ses droits comme on le voit sur la toute première photo, en premier plan jeu de pétanque pour les plus mordus et boisson à volonté pour les autres, grillades et buffet en toute simplicité sur la place du village.
ambiance conviviale garantie.
j'ai vraiment aimé et j'en garde un bon souvenir.

















trop marrant

Koxie - Garcon
les paroles sont vraiment rigolotes
mais ne mettons pas tout le monde dans le même sac
c'est juste pour du fun :)

frank sinatra - the way you look tonight

la vidéo est très moche mais je n'ai rien trouvé d'autre
la chanson est magnifique et si quuelq'un veut me la chanter dans le blanc des yeux je veux bien :)
vous pouvez vous inscrire ici
voila les paroles pour les apprendre ;)

Some day, when I'm awfully low,
When the world is cold,
I will feel a glow just thinking of you...
And the way you look tonight.

Yes you're lovely, with your smile so warm
And your cheeks so soft,
There is nothing for me but to love you,
And the way you look tonight.

With each word your tenderness grows,
Tearing my fear apart...
And that laugh that wrinkles your nose,
It touches my foolish heart.

Lovely ... Never, ever change.
Keep that breathless charm.
Won't you please arrange it ?
'Cause I love you ... Just the way you look tonight.

Mm, Mm, Mm, Mm,
Just the way you look to-night.



j'adore

Joe Cocker - You are so beautiful

You are so beautiful
To me
You are so beautiful
To me
Can't you see
You're everything I hoped for
You're everything I need
You are so beautiful
To me


You are so wonderful
To me
You are so wonderful
To me
Can't you see
You're everything I hoped for
You're everything I need
You are so wonderful
To me


You are so beautiful
To me
You are so beautiful
To me
Can't you see
You're everything I hoped for
You're everything I need
You are so beautiful
To me

Fly Me to the Moon

Frank Sinatra

magistral

ma chanson fétiche!!!

j'aime bien l'histoire marrante de la vidéo qui rend la chanson encore plus sympa.
un classique indémodable

Dream A Little Dream Of Me
ella fitzgerald et louis armstrong


Stars shining bright above you
Night breezes seem to whisper "i love you"
Birds singin’ in the sycamore trees
Dream a little dream of me

Say nighty-night and kiss me
Just hold me tight and tell me you’ll miss me
While I’m alone and blue as can be
Dream a little dream of me

Stars fading but I linger on dear
Still craving your kiss
I’m longin’ to linger till dawn dear
Just saying this

Sweet dreams till sunbeams find you
Sweet dreams that leave all worries behind you
But in your dreams whatever they be
Dream a little dream of me

(instrumental break)

Stars shining up above you
Night breezes seem to whisper "i love you"
Birds singin’ in the sycamore trees
Dream a little dream of me

Sweet dreams till sunbeams find you
Sweet dreams that leave all worries behind you
But in your dreams whatever they be
Dream a little dream of me

Yes, dream a little dream of me

le classique de la semaine

Try to remember the kind of September
When life was slow and oh, so mellow.
Try to remember the kind of September
When grass was green and grain was yellow.
Try to remember the kind of September
When you were a tender and callow fellow.
Try to remember, and if you remember,
Then follow.

Follow, follow, follow, follow, follow,
Follow, follow, follow, follow.

Try to remember when life was so tender
That no one wept except the willow.
Try to remember when life was so tender
That dreams were kept beside your pillow.
Try to remember when life was so tender
That love was an ember about to billow.
Try to remember, and if you remember,
Then follow.

Follow, follow, follow, follow, follow,
Follow, follow, follow, follow.

Follow, follow, follow, follow, follow,
Follow, follow, follow, follow.

Follow, follow, follow, follow, follow,
Follow, follow, follow, follow.

Deep in December, it's nice to remember,
Although you know the snow will follow.
Deep in December, it's nice to remember,
Without a hurt the heart is hollow.
Deep in December, it's nice to remember,
The fire of September that made us mellow.
Deep in December, our hearts should remember
And follow.


Harry Belafonte - Try to remember (1982)

la découverte de la semaine

Poupée, avec l'amour t'as pris la poudre d'escampette
T'as désiré le coup d' foudre t'as dit bonjour à la tempête,
Poupée, t'étais cette fille au pays des merveilles
Tu lui as ouvert ton c.ur plutôt que de t'ouvrir les veines, je sais
T'as vu en lui que ce que seule toi pouvais comprendre
T'étais petite, il était grand, il était tendre,
Je sais, et puis pourquoi se justifier l'amour ne s'explique pas,
Ni même le sang qu'on retrouvera chez toi...

{Refrain:}
Par amour, par amour, par amour, c'est tout ce que t'as su dire
Par amour par amour par amour, rien n'est impossible
Par amour, par amour, par amour, c'est tout ce que t'as su dire
Par amour...

Poupée, t'as débarqué seule sur un quai de gare,
Tu venais d'ici, de là-bas et t'allais nulle part
Poupée, t'avais de grands yeux bleus mais cernés de noir
C'était peut-être la raison de ton départ, qui sait ?
Lui il a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde
Il t'a dis "T'es trop belle vient, je t'emmène poupée"
A cet instant c'est devenu ton mentor
Il avait tort les gens, l'espoir existe encore tu sais,
Ton innocence lui a transpercé le c.ur
Tu étais son évidence, il était ton âme s.ur, je sais
Rien ni personne ne peut juger les gens qui s'aiment,
Ni leurs désirs, ni même la folie qui les traînent, Poupée
Elle était loin cette solitude dans le wagon
Prison dorée, t'as pris perpette dans son lagon
Poupée¨, chez lui c'était le paradis sur terre,
T'as même retrouvé le sourire brûlé dans une petite cuillère...

{au Refrain}

Poupée tu n' voulais pas laisser le temps te démolir
T'avais retrouvé le sourire t'étais redevenue solide je sais
Vous étiez deux enfants perdus à l'abandon
Vous êtes devenus deux amoureux contre le monde, poupée
Petite sirène tu nageais dans l'ambulance
Déambulant parmi les gens, rêvant d'une vie beaucoup moins chiante
Je sais, T'avais grandi avec lui et tu mourrais avec lui
C'était le seul à t'avoir redonné la vie
Poupée, ton visage avait retrouvé sa lumière
Petite fille sage deviendra-t-elle une meurtrière, qui sait ?
Pour ses beaux yeux plus rien n'était impossible
C'était l'amour du vice, l'amour du risque
Poupée, tous les matins il se levait aux aurores
Il te disait "Ma fée, je m'en vais juste nous chercher de l'or,
Tu sais. Le monde s'acharne à faire de nous des incapables,
Regarde-moi, tu es ma femme, je ferai tout pour qu'on se barre"...

{au Refrain}

Poupée, tu étais devenu sa seule héroïne
Vous alliez vous en sortir, sans égoïsme, je sais
L'un pour l'autre vous disiez adieu à l'enfer,
Adieu aux rêves éphémères qui coulaient dans vos veines, Poupée
Bientôt la vie sans poison ni artifices
De l'amour, de l'eau fraîche, et des rires sans acide, je sais
Tu étais belle poupée, tu étais sienne,
Tu étais reine et belle et bien debout dans un monde qui crève
Poupée, il y a des choses que la vie n'explique pas
Il y a des êtres que la mort te prend et ne te rend pas,
Poupée, cette voiture, cette vitesse et ton homme sur le pare-brise,
Au volant une triste femme en crise tu sais
Elle aussi avait trouvé l'homme de sa vie,
Mais l'a retrouvé dans son lit avec sa meilleure amie, poupée
Dans sa voiture elle a cru pouvoir oublier,
Oublier de freiner et a fauché ton bien-aimé poupée
S'il te plait ne cède pas, relève toi
Tu le retrouveras, au paradis il t'attendra, poupée
Tout le monde sait que sans lui ce sera dur
Tu as perdu ton issue, le seul remède à tes blessures, poupée
S'il te plait ne fais pas ça par amour, arrête!
Pose cette arme, ne teste pas ta bravoure, poupée
Repense au lagon..., repense à vos rêves...
Pourquoi tiens-tu ce canon si proche de tes lèvres, poupée ?...

{au Refrain}

Ça c'est du Diam's ça, Putain
Je le dédie à tout les gens qui ont kiffés ce morceau
Franchement avec le c.ur mon frère, avec le c.ur ma s.ur

A tout ces gens qui vivent par amour,
à tout ceux qui se perdent par amour,
à tous ces c.urs qui tiennent par amour,
à toutes ces femmes qui restent par amour,
à tous ces hommes qui s' cachent par amour,
à toutes ces vies gâchées par amour,
à tous ces gens qui crèvent par amour
Et à tous ceux qui survivent par amour...

L'ennemi

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?

- Ô douleur ! ô douleur ! Le temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cour
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, 1857.

L’un des plus beaux poèmes des Fleurs du mal, caractéristique du spleen baudelairien, le poète évoque les cycles de la vie et offre une vision pessimiste de la vie.

Le poème exprime le malaise existentiel qui étreint l'homme face au temps.

dédicace du week end


Come up to meet you
Tell you I'm sorry
You don't know how lovely you are
I had to find you
Tell you I need you
Tell you I'll set you apart
Tell me your secrets
And ask me your questions
Oh let's go back to the start
Running in circles
Coming in tails
Heads are a science apart

Nobody said it was easy
It's such a shame for us to part
Nobody said it was easy
No one ever said it would be this hard
Oh take me back to the start

I was just guessing
At numbers and figures
Pulling the puzzles apart
Questions of science
Science and progress
Could not speak as loud as my heart
Tell me you love me
Come back and haunt me
Oh when I rush to the start
Running in circles
Chasing tails
Coming back as we are

Nobody said it was easy
Oh it's such a shame for us to part
Nobody said it was easy
No one ever said it would be so hard
I'm going back to the start.

Coldplay - The Scientist

Ahmed Bahaeddine Attia a tiré sa révérence

kissa online a très bien donné l'info bien avant moi et parlé de l'homme public.
c'est une perte pour le cinéma tunisien.

mais pour moi, je parlerai de l'homme et non du producteur aux mille idées foisonnantes, du père, du frère et de l'ami qu'il était.
sa disparition m'a ébranlé bien plus que je ne le pensais, il ya quelques mois, il m'avait tendu la main lorsque je me sentais perdue.

je garderai en tête son exigence, sa forte personnalité, son rire joyeux, son regard perçant et franc et son franc parler.
il ne s'est jamais départi de courage ni de volonté et a gardé un moral de fer jusqu'au bout.

cela m'a fait comprendre une chose d'une extrême banalité:
qu'un jour nous pouvons être la et que demain peut être pas, alors sortez, riez, aimez, croquez la vie à pleines dents et gardez la pêche.

ciao l'artiste, à un de ces jours.


à la mémoire de Kacem, Mounira et Hmaied, puissiez vous reposer en paix.

la vie d'un orteil

je m suis toujours demandée en regardant les pieds ( les miens, ceux de ma famille et des gens...) à quoi pouvaient bien servir ces dix petits orteils, à par peut être nous permettre de marcher, supporter le poids du corps??
on aurait pu voir des palmes comme les canards à la place. pkoi dix orteils, ils ne servent pas à grand chose à part nous faire mal lorsqu'on porte de nouvelles chaussures :) et à les remuer à qui mieux mieux quand on fait un concours d'orteil avec mes cousins...
jusqu'au jour ou je suis tombée sur ce dessin assez interessant sur le net
les orteils ont bien une vie propre à eux, ils s'adonnent à des activités et participent parfois au bien être général du corps
jugez par vous même :)

mort aux vaches, un pan de l'histoire de Paris.




Normalement une meuh meuh (vache) est gentille, calme, mimi, adorable et surtout fait du bon lait. Mais voila, nous avons l’habitude de dire : « Vachement sinistre », « ce prof est vache », « mort aux vaches », « ah la vache !!!! », « quelles vacheries », autant d’expressions utilisées dans le français courant et parlé de nos jours sans que l’on sache la provenance de l’expression initiale.

Mon fan club de Tunis a lancé ces derniers jours ce cri de guerre « mort aux vaches » en réaction à un post d’un bloggeur.

Pour la petite histoire, cette insulte généralement adressée à la police et à la gendarmerie et par extension à tout ce qui porte uniforme daterait de 1870(guerre franco-allemande, occupation de l’alsace et la Lorraine, occupation de Paris, chute de Napoléon III), alors que les Allemands qui occupaient Paris écrivaient sur leurs postes de garde « wache »( sentinelle, garde) du verbe « wachen »qui veut dire « veiller ».

Il n’est pas difficile d’imaginer qu’il fut très facile aux français et aux Parisiens d’exprimer leur ressentiment envers l’occupant et en détournant la formule qui devint Mort aux vaches !!!

A la fin du 19eme siècle et au début du 20eme, le mouvement ouvrier anarchiste se saisit de la formule et en fit son slogan de manifestation.

Alors je n’ai qu’un mot à dire : MORT AUX VACHES !!!!


Le temps des cerises

la pluie risque de m'engloutir
la vanne est ouverte et ne semble pas vouloir se refermer d'aussitôt
je suis trempée jusqu'au aux os et je continue pourtant de traîner ma valise, mon fardeau, mon dérisoire parapluie qui ne pare à rien.
c'est le déluge...le calme après la tempête...le ciel se déchaîne et lave les trottoirs, les rues, les saletés des chiens par terre oubliées par leur maîtres, noie les passants et moi-même sous une ondée diluvienne et salvatrice.
dans certaines cultures, la pluie et l'eau sont synonymes de pureté et de renaissance
la pluie lavera -t-elle mes pechés, mes erreurs, mes larmes amères et douces à la fois, ma colère trop enfouie et pernicieuse qui ne cesse de me ronger, mon mal être et ma douleur, ma haine de moi?
emportera t'elle mes souvenirs qui auront longtemps le parfum des regrets?
qu'elle efface mes nostalgies puériles et naives
qu'elle emporte mes illusions les plus tenaces,
qu'elle piétine mes convictions les plus ridicules
qu'elle avale mes larmes trop longtemps contenues et ma peine si genante et mal contrôlée
qu'elle aséptise ce coeur trop rouge, trop gonflé de sang, d'images, de rêves, de sentiments vains et idiots, d'horreur, de peur castratrice, de mensonges, d'inquiètude et de honte
qu'elle l'ensevelisse et le noie sous des torrents d'eau pour qu'il renaisse , se remette sur pied et remarche
j'y sauterai bien dessus à pieds joints mais si je l'arrache moi même comment le remettre en place
on me l'a livré sans notice
je dois m'arranger et faire avec
je vais peut être lui donner congé et l'envoyer promener...
la pluie ne cesse de marteler le sol comme des mots que l'on assène, que l'on scande et qu'on crie....
qu'elle m'est douce cette pluie qu'elle m'est chère....
elle est ma jumelle et comme j'aimerais me diluer en elle...
les uns cherchent à en échapper, se terrent chez eux pour ne pas l'affronter, les autres courent s'en abriter, les plus courageux l'affrontent et continuent leur chemin comme des statues dégoulinantes dans les rues, les plus fous recherchent la liberté, les plus rêveurs l'égalité et la paix, les plus idiots le grand amour,
moi je cherche à me vider moi même, à décharger mon être de tout ce bric à brac amassé au fil des années, à muer comme un serpent, à arracher cette peau qui m'écoeure, cette face immonde et débile, cette horreur sans nom tapie en moi et qui menace de me tuer à petits feux, lentement mais surement...
je cherche une sérénité qui se fait longtemps désirer, avec quel argent l'acheter, par quel moyen me la procurer, qui dois-je soudoyer ou menacer, à qui dois-je la voler?
la pluie a fini son oeuvre,
mon coeur est moins lourd, momentanément débarassé de son excès de bagage
ma tête est moins lourde et fatiguée
ma peau luit, fruit de sa nouvelle propreté
mais mes yeux sont encore prêts à pleurer
et mon esprit traîne encore son cortège de rancoeur, de désillusion et de regrets
je vais aller engloutir des cerises au lieu de me goinfrer de pâtés

p.s: ceci est un récit fictif, né de mon imagination trop fertile, je rassure mes lecteurs: aucun organe humain n'a été endommagé et aucun acte irréversible n'a été commis, le personnage de ce récit est toujours en vie. ;)

pour les fans d'Astérix and co



en voulant rentrer de la biblio nationale par un autre chemin que celui d'habitude ( je me suis perdue bien sur comme d'hab), je suis tombée sur ces affiches sympas.

au marché aux puces













comme me l'a si gentillement demandé si slouma kbir elhouma, je suis partie dimanche au marché aux puces de Paris et de st Ouen voir ce qu'il en est.
résultat ds courses: deux ampoules aux pieds, une salade achetée, plein de photos en poche, ma batterie complétement à plat, une altercation avec un vendeur qui a failli m'arracher les yeux pour l'avoir pris en photo et un bon coup de soleil plus loin, je suis allée siroter un bon verre scheepsw à l'abri de tout ce boucan.
je crois que j'ai même rencontré le sosie de btb en route. ;)
voici les images; entre brocante, articles jetés pele mêle, antiquité, objets volés, marchands à la sauvette et vieilleries( il y avait même un type qui essayait de refiler des pots de sel à un autre gars), ça ressembait à la fois à el moncef bey et elmalassin version française.

la journée de la pub gratos

je voulais dire un grand merci à notre ami skydancer pour la pub gratos qu'il me fait
toute pub ( bonne ou mauvaise) est à prendre (avec un sourire ou pas ça, ça dépend des gens)
mais apparemment elyoum c'est ma journée à moi
deux personnes ont décidé de parler de mon blog et moi de manière indirecte
alors merci à yosra et à toi sky
ça fait zizir :)))))
et vive les votes massifs!!!!!!!!!!!!!!
p.s: merci à toute l'équipe de soutien, je vous aime.

Foresti joue Cécilia Sarkozy

je ne peux m'empêcher d'adorer
trop marrant :)

éditorial du jour


( la mariouma est toute contente!!!)




bonjour à la blogosphère
nouvelle étonnante à mon réveil ce matin
j'ai reçu un appel de tunis de ma maman pour me dire que l'on parle de la blogosphère tunisienne, de certains blogs interessants et même du mien. www.lapresse.tn/index.php?opt=15&categ=28&news=54596
j'ai été à la fois étonnée et contente ( bon...au début super contente, heureuse comme un cop en pâte, je passe dans les médias!!!! boudourou* ou pas, je m'en fous :) et en plus elle dit que je suis charmante ( ah si elle savait la vérité :))

j'aurais donc à faire plusieurs remarques à ce sujet:

1.celle qui a écrit cet article, yosrablog, , n'a pas la rancune tenace, vu la proportion qu'avait pris l'afaire "article du mois boudourou" , je m'attendais à ce qu'elle boude la blogsphère pour un certain temps. erreur et c'est tant mieux. je trouve qu'elle fait preuve d'esprit sportif :)

2.de la pub gratos est toujours bonne ça permet de drainer les curieux et inciter les gens à venir jetter un coup d'oeil du coté de chez nous!!
cet article a réussi le tour de force de faire interesser ma mère à mon blog alors que jusque là, il n'y avait rien à faire et j'ai essaayé par tous les moyens de l'interesser au concept( cajoleries, hézzen 9ouffa, gateries, menaces...). aujoud'hui, elle est piquée par la curiosité et suite à l'article a décidé d'aller surfer sur le web et d'aller jeter un coup d'oeil du coté de chez moi :)

3. je pense que les deux parties concernées dans l'affaire "boudourou" semblent avoir tiré trait sur cette histoire (enfin je l'espere). qu'elle ait mérité ou non le prix boudourou, ce n'est pas ça le plus important. après tout, ce n'est qu'un vote et toute opinion est relative.
le gouverneur a, semble-t-il, fait plus au moins amende honorable et melle yosra est après tout une blogueuse et donc fait partie intégrante de la blogosphère. élli fét mét et vive la blogsphère.

4. c'est hors sujet avec tout ce que je viens de raconter:
mais je voulais savoir pourquoi est ce que nous avons eu droit à un seul résumé( que vous pourrez lire sur le blog de A Cindrella Story)et donc seul point de vue du meetup de dimanche à Biwa???
le sujet m'interesse et j'aurais aimé avoir les opinions des autres participants
alors azwaw, clandestino( grand instigateur de cette journée) et les autres, manifestez vous :)

sur ce, je vous quitte, il est temps que j'aille bosser et savourer ma nouvelle "célébrité" dans mon coin :)
aciao

Un samedi soir sur la terre

Il s’obligea à sortir de chez lui. A force de se terrer dans sa chambre miteuse et minuscule, il allait finir par devenir fou. Il étouffait, un bol d’air frais lui ferait du bien.

Il remonte la rue H, le soleil venait de se coucher, le ciel était encore strié de belles couleurs du soir oscillant entre le rouge pourpre et le rose tendre.

Sa tête menaçait d’exploser…une brise fraîche se faisait sentir, la ville s’éveillait lentement et les lumières la paraient de mille feux.

La sensation d’étouffement s’accentuait…les rues grouillaient de monde…les gens, attablés au restaurant d’en-face faisaient un boucan d’enfer…sourires, rires et plaisanteries.

Un enfant courrait derrière un chien ténu…il humait l’air du soir goulument comme un asphyxié, essayait de respirer d’une manière normale pour ne pas céder au malaise.

Un couple d’amoureux le bouscule et le dépasse…il serre les dents, sa poitrine l’oppresse. Il passe devant la mairie de son quartier….il remarque des pétales de fleurs rouges sang que les passants piétinent par terre, éphémère souvenir des mariages qui ont du avoir lieu aujourd’hui…samedi, le jour des mariages à P. autour de la place de C, sa place préférée, une jolie jeune fille trempe ses jambes dans l’eau de la fontaine sous le regard amoureux de son homme…

Nos pires ennemis sont nos propres démons, ceux que nous portons en nous. Ce sont eux les plus difficiles à vaincre, les Goliath contre lesquels aucun David ne semble pouvoir s’acharner et réussir à les terrasser.

La lune a fait son apparition, elle est belle et ronde dans cette nuit sans nuages…il marche sans but, se laisse porter par le mouvement de la foule compacte autour de lui…une famille d’américains lui rentrent pratiquement dedans, absorbés qu’ils étaient par leur plan déployé…encore des touristes égarés dans cette bonne vielle ville…le malaise s’accentue, le sang lui bat les oreilles…il a du mal à respirer, à penser…il ne peut que marcher comme un automate, le corps n’est plus qu’une machine qui obéit encore à des gestes mécaniques et désordonnés…la foule le happe, l’aspire et il se laisse malmener au gré des mouvements , du flux humain…une femme éclate en rire à ses côtés lui vrillant les tympans…il regarde , hébété, le sourire, les regards, les gestes de tous ces inconnus qui communiquent entre eux…se sentir abominablement et irrémédiablement seul au milieu d’une foule…il réalise l’horreur de sa situation…il n’a aucune prise sur les événements et encore moins sur lui-même…il ne peut que subir.

Les cafés sont pris d’assaut, les voitures dévalent le grand boulevard en toute allure obligeant les piétons à s’agglutiner sur les trottoirs, formant des marées humaines dans laquelle il s’abrite….il a conscience de son mal mais est incapable d’y remédier…Les rues avoisinantes, piétonnes pour la plupart déversent leur lot de touristes affamés à la recherche d’une bonne table, de natifs excédés par toute cette foule, sortis se dégourdir les jambes.

Ses yeux restent secs et son cœur est en berne…son mal l’a reprit, d’une manière insidieuse, il s’est glissé lentement mais surement et comme d’habitude, il ressent cette sensation d’être englouti tout entier, de noyade imminente sans aucune bouée de sauvetage en vue…les élégantes sont de sortie ce soir, jolis décolletés, bijoux clinquants, parfums capiteux, jeux de jambes et regards plein de promesses… la soirée risque d’être chaude pour certains…c’est sa croix à porter, cette douleur si familière, devenue presque une âme sœur, chronique et saisonnière mais qui revient de plus en plus ces temps-ci.

Il traîne les pieds du côté de la Seine, l’air y est plus frais….l’eau luit à la surface et des petites vaguelettes se forment au passage des bateaux mouches. Les berges sont aussi noires de monde que les rues et les trottoirs. Il fait si bon….la brise apporte des effluves de parfums de la nuit, les rires des pique-niqueurs sur les quais, les notes de musique qui s’échappent des bateaux de passage…un air de tango, un restaurant flottant ou les dineurs dinent à la lueur des bougies…

Le couple à ses côtés s’amuse à se prendre en photo dans diverse positions, il leur envie leur bonheur et leur insouciance …il fait face à l’eau e regarde les gens évoluer de l’autre côté…la ville est bien réveillée…les monuments sont illuminés et la tour, dominant la ville, orgueilleuse, darde son faisceau lumineux…il est incapable du moindre mouvement et se ratatine sur lui-même en écoutant le brouhaha de la cité…une femme au regard trouble se place près de lui…il n’a aucune envie d’engager la discussion..il a du mal à se supporter, comment peut il supporter le babillage d’un tiers ?

Il finit par se lever et continue à errer pendant des heures dans la ville…Nell lui manque terriblement, elle a toujours été son garde fou, celle qui lui ouvre les bras quand il était au plus mal…ça ne sert à rien, elle est loin et rien ne la fera revenir….malgré les heures qui défilent péniblement dans sa tête, les rues ne désemplissent pas, la ville a l’air d’être en fête…

Il use ses fonds de semelle sur l’asphalte jusqu’à l’épuisement et traîne son âme en berne durant des heures…l’effort physique le fatigue et l’apaise, il a sommeil…il en est presque heureux, la fatigue est le meilleur des remèdes, s’abrutir et fatiguer le corps l’aide à calmer la douleur..Les drogues, l’alcool et tous les paradis artificiels se sont montrés inefficaces la ou la bonne vielle méthode de l’épuisement physique fonctionne le temps que la douleur sourde se ca

Retour chez lui…la chambre est encore une fournaise, il ouvre grand la fenêtre…les bruits du dehors montent jusqu’à lui… Il se sent apaisé et parvient à esquisser le premier sourire de la journée, le tumulte s’arrête progressivement dans sa tête…les fêtards ne semblent pas vouloir terminer la soirée et continuent leur raffut, des restaurants d’à côté, lui parvient une mélodie entraînante…bruits de verre brisé de quelques saoulards attardés dans les rues…une voiture s’arrête et les portes claquent

Il sourit encore une fois à son reflet dans le miroir, « joyeux anniversaire » dit-il à voix basse…il regarde le cadeau envoyé par sa mère sur la table et pense un instant à l’ouvrir. les bruits de la rue continuent à lui parvenir, il s’accoude à la fenêtre…la lune est majestueuse, elle projette une lumière laiteuse dans la chambre…il se sent rasséréné, le pire est derrière lui…le ciel lui semble immense et les étoiles plus brillantes que d’habitude…la nuit est belle et le silence prend le relais sur les bruits de la ville…

Il lève la tête vers le ciel et regarde la voûte céleste, sourit devant une étoile filante qui passe, la première de tout l’été. C’est un samedi soir comme les autres, la brise se fait plus fraîche, la lune se voile d’un halo plus sombre ;il ramène l’engin noir au niveau de sa tempe et appuie sur la détente.

petite pique du week end


mon sujet de Tma93iir( moquerie) préféré!!!

déchirage et déplumage (ragots)

ma petite soeur chérie


Ma petite sœur vient de m'envoyer un mail ( qui m'a fait rire)a propos d'un mariage auquel elle a assisté . Admirez la prose de la demoiselle .la peste réputée pour être une matheuse,thahér feha bech ta3mel carrière fil domaine littéraire!

""hala la salle des fêtes…haka… haka... sur les berges du lac .un truc pourri sans clim, j'avais chaud et ma robe me serrait, de plus mon maquillage a failli couler avec toute cette chaleur...

En plus la ceremonie etait programmée pour 18 heures, quelle idée!dans la salle il y avait un type avec un orgue qui faisait l'orchestre a lui tout seul.c'etait plutot karaoke. du bas de gamme!

Ca n'a pa plu a tata hayet. Le marié faisait l'important.on a pas idée d'epouser un type aussi maigre…hala ya mariouma on dirait un fakir."

Admirez la technique du dechirage et du deplumage: d'abord la salle ensuite l'ambiance puis le marié.puis elle décrit la mariée (notre parente) :

"mouna était magnifique.7liletha.souriante et tout.bon son nez est comme d'habitude de travers la pauvre, et la coiffure ne cassait pas grand chose mais dans l'ensemble ça allait.bon elle aurait pu choisir une robe avec un style plus moderne mais bon à chacun ses gouts"

Observez comment elle n'a pas raté la mariee ( une fille comme ca en passant).

"on nous a servi des boissons …je te dis pas…du pipi de chat…"

Et apres la rédaction du sdak. La cerise sur le gateau.le buffet autour

D'une "jebia" pompeusement appellée piscine.

Il fallait voir la famille du marié.ils n'ont pas mangé depuis 10 ans au

Moins….wallahi une honte…regarde les photos…ils ont encerclé le

buffet et nettoyé l'endroit en moins de 5 minutes."

"avec le enfants de g. qui viennent a tunis pour la 1ere fois d'amerique

On s'est marré comme des fous.on a donné aux affames du buffet des

Noms de personnages de dessins animés et de film.hassilou jaw mta3

Essmé...et bien sur pas assez de beaux célibataires...échléka ou 5ouh.j'aurais du rester à la maison, korfi hassilou.

tu n'as rien raté! enfin rabbi ihanéhoum...on m'a dit qu'ils partaient à Monastir pour leur lune de miel, les pauvres pas assez de fric pour s'offrir un voyage à l'étranger..

bon et toi , à part ça, ça va?takskom béhi??

tjs aussi célibataire? tu te laisses vraiment aller ma chérie bouge un peu il est temps quoi!!!.. allez bise et à plus"

Alors, vous y croyez toujours à "bara2atou ettoufoula" ( le temps de l'innocence sachant que ma soeurette est une adolescente!!!)

p.s: désolée, azza, pour ce déballage en public mais tu l'as bien cherché avec ce mail qui donne la pleine mesure de ton talent!!!

Acharika attounoussia lél louhoum (la société tunisienne de viande)

J’ai profité de la semaine dernière pour faire un petit saut à Tunis pour me changer un peu les idées.

C’est qu’elle me manquait ma ville !!!

J’ai retrouvé avec plaisir ma famille, quelques copains (les actuels et même certains que je n’ai pas vu depuis très longtemps), la bonne bouffe de ma maman, les siestes sur la plage (j’ai même cramé un peu je ressemble à une petite crevette parce que monsieur mon père a oublié de me réveiller) et plein d’autres choses si caractéristiques de chez moi : la chaleur étouffante (les premiers jours j’avais du mal à supporter je ressemblais à du chewingum mâché), la conduite infernale des tunisiens au volant, les klaxons à toute heure de la journée, les mariages à gogo, les soirées à ne plus finir et aussi le comportement civilisé, respectueux, courtois et empreint de délicatesse de certains de mes concitoyens.

Durant cette semaine, j’ai retrouvé avec bcp de « bonheur » et de « nostalgie » mes amis les conducteurs de voiture qui s’arrêtent à tout bout de champs, klaxonnent ou font même des appels de phare maintenant pour attirer l’attention de tout ce qui porte jupon (et ressemble donc de près ou de loin à une "femele") et a l’impertinence, l’audace (ou le malheur) de se tenir debout sur le trottoir.

Vas leur expliquer, à ces messieurs, que ; sous la chaleur de plomb de 45 degrés en pleine 9aila (après-midi torride en plein soleil), je ne fais pas le trottoir mais que j’attends un taxi, un ami ou même le bon dieu et que même une prostituée a droit à plus de respect, et que je ne trouve pas leur attitude flatteuse et que je n'ai pas envie d'être flattée d'être prise pour un vulgaire morceau de viande !

on a même fait le coup à ma mère!!! tout y passe, y manquerait plus que ma grand-mère la prochaine fois ;)

Hassilou je voulais juste leur dire que bien que la société tunisienne continue de produire des filles bien en os et surtout en chair, elle ne fait pas dans la viande ambulante sur deux pattes et que l’on ne peut pas se servir comme au supermarché de kilos de viande haché, filet mignon ou gigot.

Et pour ceux qui me diront que certaines filles le méritent et qu’elles se prêtent volontiers au jeu, je leur répondrai qu’on arrête de mettre tout le monde dans le même panier.

tiens, j'ai oublié de dire combien j'ai été étonnée par le nombre croissant de gens (hommes et femmes) qui se baigent lébssin, je n'ai pratiquement pas vu de bikinis et encore moins de short à la normale. tout le monde toute catégorie confondue, portrait des tee shirts, des shorts taht elrokba, des bermudas, des jupes par dessus le maillot.je peux vous dire que je me suis sentie un peu (bcp????) mal à l'aise d'être la seule pratiquement à être en maillot de bain.

ah les tunisiens quand ils décident d'interpréter la religion à leur manière, ça donne du n'importe quoi.

achnoua, tout le monde a décidé d'aller à la mecque cette année ou quoi?

meskina tounés ou barra!

a funny story ( bon courage pour les non anglophones)

Last Day on the Job




It was the mailman's last day on the job after 35 years of carrying the
mail
through all kinds of weather to the same neighborhood.When he arrived
at the
first house on his route he was greeted by the whole family there, who
congratulated him and sent him on his way with a big gift envelope.At
the second
house they presented him with a box of fine cigars.The folks at the
third house
handed him a selection of terrific fishing lures.At the fourth house he
was met
at the door by a strikingly beautiful woman in a revealing negligee.She
took him
by the hand, gently led him through the door, and led him up the stairs
to the
bedroom where she blew his mind with the most passionate love he had
ever
experienced.When he had had enough they went downstairs, where she
fixed him a
giant breakfast, eggs, potatoes, ham, sausage, blueberry waffles, and
fresh
squeezed orange juice.When he was truly satisfied she poured him a cup
of
steaming coffee.As she was pouring, he noticed a dollar bill sticking
out from
under the cup's bottom edge. "All this was just too wonderful for
words," he
said, "but what's the dollar for?""Well," she said, "last night, I told
my
husband that today would be your last day, and that we should do
something
special for you. I asked him what to give you."He said, "Fuck him, give
him a
dollar."The lady then said, "The breakfast was my idea."

P.S: Thanks to soussou for sending me
this little story. :)

100 euros pour clandestino!!!

chose promise, chose dûe, voila les 100 euros que je viens de recevoir de la part de kissa online par e-eastern union pour clandestino.
p.s: la tab3athli jmé3ték à la nage la ta3mlénna hala avec si sarko ou trassi bariz mssakra!
:)

and the winner is...............................................

clandestino!!!
au jeu des devinettes tu as été le plus fort
effectivement l'homme à la question de 100 euros est bien notre ami kissa online
brabi ya clando comment t'as trouvé berjoulia?
pour ce qui est d'empocher la somme, vas voir avec kissa je lui ai fait assez de pub comme ça.
merci à azwaw qui a bien voulu garder le secret.
ou brabbi ya si kissa online ekbess rouhék et sors nous un post ça fait longtemps que tu t'es endormi sur tes lauriers!
dernier point: quelqu'un sur la blogosphère tunisienne ou même marsienne sait-il ou big trap boy est passé?
zaama mché ya3mél fi kaa3bét ou nsé blogou?
allez acio les amis.

question à 100 euros


cet homme est un blogueur tunisien qui sévit sur la blogosphère tunisienne depuis quelque temps. il est beau gosse, cultivé, sympa et très spirituel, un peu prise de tête des fois mais on finit par l'adopter.
alors, quelq'un sait-il de qui il s'agit?

azwaw, tu n'as pas le droit de participer à ce jeu, tu connais la réponse et pas la peine de la souffler aux autres!!!!
p.s: ce n'est pas moi qui risque de vous les payer les 100 euros en cas de bonne réponse. :) adressez vous à l'illustre inconnu.

Centre de tri

Compteur

La boîte à tralala

Quelques rêveurs de passage