Paradis artificiels

Nuage de fumées

Regards évidés

Murmures

Brouillard

Noirceur totale

Corps ondulants

En sueurs

corps offerts

corps lascifs

offerts aux regards

dénudés

déjà vendus aux plus offrants



Mains se levant

Têtes se relevant

Ivresse des sens

Rythme saccadé

Corps en sueurs

Atteindre le nirvana

Musique lancinante

Mouvement vers l’oubli de soi

De la réalité

Tristesse, euphorie, apathie

Convulsion,

Adrénaline

Mauvais sang

Sueurs des corps qui se rapprochent

Musique tonitruante

Enveloppante

Esprits embrumés

En transe

En transe

Jusqu’à ne plus savoir

Ne plus pouvoir réagir

Ne plus…

N’être plus

S’oublier

S’évanouir

Musique étourdissante

Rythme entrainant

Mus par le mouvement

Transcendance

Hors de soi

Ivresse éphémère

Corps en perte de vitesse

Etourdissement

Enivrant

Ephémère

Artificiel

Facile

Evocateur

Evacuateur

Libérateur

Salvateur

Corps enfiévrés

Regards vitreux

Trace de fumée

Esprit troublé

Psychédélique

Paradis artificiels


Vivre, vivre à en perdre haleine



Hier, tu disais ta rage

Tu criais ton chagrin aux quatre vents

Tu couchais ton impuissance sur le papier

Tu n’avais que l’amertume pour unique compagne

Tu déversais tes illusions à chaque pas

Tu rongeais ton frein en attendant que les remous stériles arrêtent de t’empoisonner la vie

Tu te débattais dans un inextricable piège à rat, infect et puant

Tu errais dans un dédale sans fin, brûlant, suffocant

Edifice branlant comme tout le reste

Le cœur en miette, les yeux secs,

Les poings serrés et la rage au ventre

La langue bridée, la parole brimée

La peur de la putréfaction, de la laideur

Et du néant dans lequel tu t’engluais

Tu errais, la tête baissée, le corps rompu

L’esprit engourdi, aliéné

Comme ton pauvre cerveau lavé, remâché,

Recraché, haï, honni, foulé aux pieds,

Cent fois maudit

Tu étais sourd, aveugle, muet, muet, muet, muet

Tu n’entendais rien, tu ne voyais pas grand-chose

Tu ne respirais presque plus

Ton cœur menaçait de te lâcher au beau milieu du chemin

Te laissant orphelin, débile, avili, souillé et rongé jusqu’au bout

Aujourd’hui,

Tu relèves la tête

Et tes yeux se mouillent, convulsent, se laissent pénétrer par la lumière aveuglante

Tes larmes sublimées coulent, long fleuve aux torrents purifiés

Tes mains s’ouvrent

Ton front s’illumine

Ton cœur se gonfle d’espoir

Tu respires,

Ton fardeau te semble plus léger à porter

Tu le déposes

Tu te redresse, égaré et encore affaibli par ta captivité

Tu romps ton linceul qui te momifiait

Un miracle se fait

Un sourire béat et idiot se dessine sur tes lèvres desséchées

Ton sourire perdure, se dédouble, se répercute

Explose, éclate à la face des passants ahuris

Tu mues, tu mues, tu mues, tu mues

A l’infini

Ta peau craquelée se détache par lambeaux et

Tu la parsème aux quatre vents

Au soleil qui t’aveugle

Et ton souffle vicié, rejeté naissant, balbutiant

A tes lettres, à tes mots assemblés comme par un effort monstrueux

Et inhumain

Tu te délivres et tu te livres

Ton sang gicle dans tes oreilles, bouillonne et menace de se déverser

Tu fermes les yeux et tu te permets de rire

Parce que tu es vivant

Parce que tu es libre

Parce que tu n’es pas muet

Parce que ton cœur bat

Parce que tu as mis le mot fin à ton adolescence attardée

Parce que tu as libéré ton jumeau,

Ton eternel ennemi

Ton faux frère

La noirceur de tes rêves englués, ratatinés

Et pourris

Parce que tu as préféré remarcher de nouveau

Et te relever

Parce que tu as compris

Tu as arrêté de simuler

Et que tu as appris à marcher

Parce que aujourd’hui

Tu es seul face à toi même

Tu peux écrire

Ecrire à en mourir

Aimer à en vivre

Ta page

Tes pages

Des pans de ton histoire personnelle

Unique, mythique, lyrique et universelle

Tu peux écrire

Je t’en ramènerai des pages blanches

Que tu noirciras de tes mots

De tes maux, de ton sang

Parce qu’aujourd’hui, tu peux danser

Danser jusqu’à la pamoison

A perdre le nord, le sud et la raison

Danse, danse

Ecris, ris, oublie à la seconde

Tu ES aujourd’hui et demain

Danse ta sarabande

N’en rougis pas

Cries, la face barrée de ton sourire idiot

Débraillé, excité et la langue pendue

Les cheveux en bataille

Mais le cœur, à présent, repu

Aimer à en vivre

Aujourd’hui, tu PEUX.



MERCI.



note blanche pour un avenir moins gris

la photo Boudourou

vous voyez le dourou?
:)

quand nostra improsive une rencontre entre blogueurs

quand nostra improvise un café entre bloggueurs , ça donne à peu près ça
il a fallu plus d'une heure sur msn en conférence pour arriver à réunir toute la smala
ça a donné une de ces cacophonies sur msn, bref plus personne ne comprenait rien, on s'y est mis à 5 quand meme pour papoter!!!
donc, finalement tout le monde s'est mis d'accord pour une lamma 3ayilia :) au café journal
choufli hal nous arejoint ensuite, très jolie la fille :)
j'ai pu prnedre des photos de suns et des autres
meme si je n'ai pu le faire avec nostra et choufli hal, horrifiés à la vue d'un appareil photo
Madame prefere garder l'anonymat, il faut se déplacer pour la voir
et Monsieur a trop d'admiratrices online apparamment qui le harcèle donc il tient à sa vie privée :)
monsieur le photographe de service tjs en action
kibtiz n'avait pas forcément envie d'etre pris en photos, trop de photos tuent les photos :)
conversation au sommet concernant les affaires du Normalland
charmant le cousin, et en plus il est célibataire (enfin, je crois) les filles!!!!!!!!!
trop sérieux!!
pozi, pozi,
et voila, dommage pour les absents.

une note en arc-en-ciel pour dire NON au silence

non à ma liberté d'écrire
non au silence contraint et imposé, non à la solitude qui en résulte
non à l'emprisonnement de la pensée, des idées
non à tous ces foutus secrets
non à une pseudo liberté émasculée

non à mon silence à moi, que l'on m'impose contre mon gré ( même si à chaque fois que j'ouvre labouche, ce n'est que pour dire des conneries)


et enfin, non à la politique de l'autruche!!! et au "a5ta rassi ou athréb" , tant que cela ne me concerne pas.


Nikos Kazanzaki a eu ces très jolis mots qui résument à mon avis tout ce qu'un être devrait pouvoir faire sans compromis , rien qu'avec de simples mots qui peuvent malgré tout , tout changer:

"Je n'ai en mon pouvoir que vingt-six petits soldats de plomb, les vingt-six lettres de l'alphabet : je décréterai la mobilisation, je lèverai une armée, je lutterai contre la mort."


ça pleure à Tunis et ça s'éveille à Paris.

jacques , lui, n'a pas besoin d'etre présenté.

elle par contre je ne la connais pas. jolie musique et belle voix. c'est curieux qu'elle ait appelée sa chanson, Tunis.



une journée à Tunis

Première semaine de vacances,

Journée assez ensoleillée, promesse d’agréables moments à passer,

Je m’en vais crapahuter dans la ville, à pieds, le sourire aux lèvres.

Partie flâner chez les bouquinistes de rue d’Angleterre, toute mon enfance, avec Kibitz.

Ce dernier était heureux comme un coq en pâte.

Il a fallu le décoller presque de force des rayons de livres en arabe.

Je suis quand même retombée en enfance en dénichant « sahirtou minhou eléyeli ».

Ça faisait tellement longtemps que je n’avais plus touché un libre écrit en arabe.

Kibitz a fini par trouver son bonheur dans les classiques français, du Dumas qu’il cherchait depuis quatre ans. Ce type se révèle être un dévoreur de bouquins !!!!

Ravis et ruinés, nous nous sommes décidés pour le café incontournable sur l’avini.

Du coup, on s’est un peu tapé tout Tunis : ma mère, une copine de retour de Paris, mon cousin et sa dame( on avait l’impression d’etre dans un mini mini meet up), encore une copine.

Un conseil, si vous voulez voir des amis à vous, des parents, des connaissances ou même faire de nouvelles rencontres, attablez-vous dans un café sur cette fameuse avini.

Vous ne serez pas déçu(e)s.

La soirée s’est terminée sur un diner improvisé dans un petit resto, rue de Marseille.

On a appelé pratiquement tous les blogueurs dont on avait les numéros, kibitz et moi, avec plus au moins de succès.

On avait l’air un peu con, quand même. ;)

On a déploré certains qui ont décliné l’invit pour probs de santé (inchalah labes cousin) et pour raisons familiales, les autres bah tant pis pour eux (hein, nostra !). ;)))

Diner tranquille et très sympa entre kmr, qu’on a ramené de très loin, le pauvre, le nouvel observateur, ulyssen, moi et un copain venu nous rejoindre plutard.

Décor assez sympa, bonne ambiance, bonne bouffe, sensation de bien-être, bcp de rires, un fou rire de la part des garçons quand j’ai cru croire qu’ils me traitaient de crêpe (je suis un peu dure de la feuille parfois, j’entends tout et souvent n’importe koi).

Désolée ;)

Le bourge de service nous a un peu cassé les pieds, il trouvait le resto pas trop à son gout, pas assez classe ni assez cher.

Monsieur étant devenu critique gastronome (voyez son blog), cela se comprend. :))))))

Dommage, je l’aimais bien, ce type. On s’entendait comme deux larrons en foire. Dommage !

te faches pas, tu connais très bien mon humour douteux et jamais sorti au bon moment.

Kikou, était, à son habitude, adorable, très agréable compagnie. J’ai découvert un KMR aussi sympa que sur MSN mais peut être un peu dépassé par les événements. ;)

On va y remédier, la prochaine fois. Promis. Seul bémol, nous n’avions pas pensé aux appareils photos. Et on a même décidés de refaire ça le plus souvent possible selon les disponibilités de chacun.

Merci, les gars. Au prochain diner !

p.s : les autres, vous êtres les bienvenues si cela vous dit un de ces jours, c’est sans façon.

UNE BONNE PAIRE DE CLAQUES DANS LA GUEULE

Quand on est tout blasé,
Quand on a tout usé
Le vin, l'amour, les cartes
Quand on a perdu l'vice
Des bisques d'écrevisse
Des rillettes de la Sarthe
Quand la vue d'un strip-tease
Vous fait dire: "Qué Bêtise !
Vont-y trouver aut' chose"
Il reste encore un truc
Qui n'est jamais caduque
Pour voir la vie en rose

Une bonne paire de claques dans la gueule
Un bon coup d'savate dans les fesses
Un marron sur les mandibules
ça vous r'f'ra une deuxième jeunesse
Une bonne paire de claques dans la gueule
Un direct au creux d'l'estomac
Les orteils coincés sous une meules
Un coup d'pompe en plein tagada

Boris Vian

quelqu'un pourrait-il lui dire?

Elle : Si quelqu’un pouvait me dire pourquoi j’insiste

Lui : Il bat

Elle : Pourquoi je ne laisse pas tomber

Lui : Il bat

Elle : Pourquoi je n’abandonne pas

Lui : Il bat

Elle : Pourquoi je ne me résigne pas

Lui : Il bat

Elle : A aller de l’avant

Lui : Il bat

Elle : A tourner la page

Lui : Il bat, tu es une idiote.

Elle : A en écrire une autre

Lui : Il bat

Elle : Une fois pour toute

Il : Il bat

Elle : J’ai beau essayer

Lui : Il bat, pas assez.

Elle : M’y employer

Il : Il bat

Elle : De toutes mes forces

Lui : Il bat

Elle : M’en convaincre

Lui : Il bat

Elle : Rien n’y fait

Lui : Il bat

Elle : Un signe

Un geste

Lui : Il bat

Elle : Un appel

Lui : Il bat

Elle : Un regard

Lui : Il bat

Elle : Chamboule tout (elle se sèche les yeux)

Lui : Il bat, oh elle se met à pleurer !

Elle : Et voila, c’est reparti

Lui : Il bat, que tu es bête.

Elle : Pour une autre partie

Lui : Il bat, il t’a rien demandé.

Elle : Pour d’autres prises de tête

Lui : Il bat, personne te demande de le faire.

Elle : Pour d’autres sempiternelles questions

Il : Il bat

Elle : Pour stagner au lieu de m’en libérer

Lui : Il bat, tu es responsable.

Elle : Pour me ridiculiser

Il : Il bat, ah ça c’est vrai.

Elle : A m’inventer je ne sais quoi

Lui : Il bat, je confirme.

Elle : Que faire lorsqu’une image vous colle à la peau,

Lui : Il bat

Elle : Vous fait perdre vos moyens,

Lui : Il bat

Elle : Vous fracasse toutes vos belles résolutions,

Lui : Il bat

Elle : Vous cloue sur place ?

Lui : Il bat

Elle : Un engluement sans fin

Lui : Il bat

Elle : Eternel recommencement

Lui : Il bat

Elle : D’une histoire inventée

Lui : Il bat, c’est lequel dont tu parles ???

j'arrive plus à suivre. ;)

Elle : De morceaux (????) sans cesse recollés

Lui : Il bat, de quoi tu parles ?

Elle : Envers et contre toute logique et raison

Lui : Il bat

Pour qui ??????

Quand ?

Et pourquoi ?

Il bat

Elle : Tout se confond

Je hais cette image ; d’elle, d’elle, d’elle, d’elle, de moi,

Eternelle sangsue

Eternelle perdante

A un jeu dont les règles sont, pourtant, connues

A une chimère, chimère, chimère, chimère

Lui : bon ça va la, on se calme, tu fais des rimes maintenant ?

Violence, violence !

Et toi,

Lui : moi ? Mais j’y suis pour rien !

Elle : pas toi, idiot.

L’eternel absent,

Laisses moi

Ne me retiens pas

Je ne suis pas ton amie

Lui : oh oh ! C’est méchant ça.

Je ne sais même pas ce que je suis

Je ne suis rien pour toi

Lui : je confirme, je confirme !!!

Et demain, tu ne seras plus rien pour moi

Lui : hamdoulaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Qu’un souvenir, souvenir, souvenir,

Je sais, tu n’y comprends rien

Oublies moi

Dis-moi de me rendre à l’évidence

Lâches moi

A défaut de me…..

Etreins-moi, étreins-moi, étreins-moi,

Lui : ma parole, t’es plus idiote que je ne le pensais !

Libères moi

Lui : Mais Il bat, Mon cœur.

Elle : Mais, je m’en irai pourtant.



Elle et lui, assis dans un coin, parlant à voix basse ;

-tu devrais changer de métier et devenir comédienne. ;)

-….

-tu as l’étoffe d’une pauvre héroïne tragédienne, hihi.

-….. (regard moqueur)

-tu te donnes beaucoup de mal

Pour te donner en spectacle.

-….. (Sourire)

-exutoire ?

Pffff

Un peu exhibitionniste sur les bords ?

(Large sourire)

-…. (elle lui caresse la joue)

-allez ramènes ta fraise Mickey, tu m’as assez fait chier aujourd’hui. On va aller se promener.

connaissez vous Laly Berthé?

laly berthé est une très vieille dame, qui remonte à la nuit des temps.
on dit qu'elle a été grecque, romaine, plustard française, espagnole, anglaise, indienne, etc
et maintenant elle serait américaine?!
mais presque jamais africaine?!!!!
moi, je ne la connais pas beaucoup.
en fait, je peux dire que je ne risque pas de la connaitre d'aussitot là ou j'habite ;)
laly berhé a beaucoup d'amis, dont un que j'aime bien, Démos gratos ( ironie du sort, il n'est pas si gratuit que ça, il coûte meme un peu cher en ce moment).

Paul Eluard a connu Laly berthé et peut en parler mieux que moi:

Liberté

Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom

Sur les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffées d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis pour te connaître
Pour te nommer

Liberté

Paul Eluard
in Poésies et vérités, 1942



p.s: en attendant la note blanche, voyons l'avenir moins gris, à défaut de couleurs. :)

jeux de main, jeux de....

bien avant le pauvre monsieur sur la croix,
jeux de main, jeux de bout de sein
( bien avant la fameuse réplique d'un des personnges de Molière "cachez moi ce sein que je ne saurais voir" et le nipple gate, scandale outre-atlantique du bout de sein de Janet Jackson au superbowl)
au commencement, il ya eu ce jeux de main, jeux d'assassins...



jeu de mains, jeux d'humains
jeunx de mains, jeux de toute une vie, d'un destin...
jeux de mains, jeux de Tunisiens (mais bon, je pense qu'-dés-habillée comme ça elle l'avait bien cherché!)
jeux de mains, jeux de vilains...
jeux de mains, jeux protecteurs, gestes de vie et de survie
jeux de mains, jeux de très gros vilains, de violence et larbins
jeux de mains, jeux coquins
jeux de mains, jeux de gamins
jeux de mains, jeux de feu, jeu de souffrance sur fond de barbel-in-
jeux de mains, jeux d'entraide pour qu'aucun ne soit dans le besoin
jeux de mains, jeux mutins
jeux de mains, le jeu touche à sa fin.
jeux de mains, jeux de menteurs, jeux de politiciens..
jeux de mains, jeux au-delà de tout frein...
jeux de mains, jeux de plus en plus vilains
jeux de mains, jeux de musiciens
jeux de mains, jeux de ceux qui ne respectent plus rien
jeux de mains, de créateurs, jeux divins
jeux de mains, jeux tabous
jeux de mains, pour n'en faire plus q'un...
jeux de mains, jeux de mort et de re-assassins...
jeux de mains, jeux de Tunisiens bis
jeux de mains, jeux d'idéal, de passion et de ce à quoi certains n'y comprennent rien
jeux de mains, jeux de toujours ou jeux d'un jour
jeux de mains, jeu de Tunisiens tris
jeux de mains, geste salvateur, ou le divin n'est jamais loin.
jeux de mains, jeux de tendresse, d'abnégation et de câlins.
jeux de mains, jeux d'amour, jeux sereins.
jeux de mains, quand on n'est plus un, ni deux mais tr-in, tr-in ;)
jeux de mains, jeu ancestral, tjs recommencé, geste sans fin.
jeux de mains, jeux conscients, responsables pour un meilleur lendemain.
jeux de mains, finalement, geste envers l'autre, geste et lien, geste de paix, solidaire, désir de s'attacher le prochain.

Centre de tri

Compteur

La boîte à tralala

Quelques rêveurs de passage