....


Et un sourire

La nuit n'est jamais complète

Il y a toujours puisque je le dis

Puisque je l'affirme

Au bout du chagrin une fenêtre ouverte

Une fenêtre éclairée

Il ya toujours un rêve qui veille

Désir à combler faim à satisfaire

Un coeur généreux

Une main tendue une main ouverte

Des yeux attentifs

Une vie à se partager.

paul eluard, Le Phénix, 1951.



p.s: pour répondre au questionnement de certains, qui s'etonnaient de cette veine romantique;
ce n'est rien d'autre qu'une envie de partager une émotion, un sentiment face à de si jolis textes. :)


1 ripostes trèès percutantes:

SELMA 4 décembre 2007 à 14:22  

que c beauuuu tout ca

Centre de tri

Compteur

La boîte à tralala

Quelques rêveurs de passage