"La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur" dixit Paul Eluard
à la ville imprenable qui a décidé de se retrancher derrière ses murailles,
à ce bastion de résistance et ce monument d'indifférence
plus tu me fuies et plus tu te dérobes
plus fort et plus répeté sera mon assaut
je fais ton siège, malgré l'absence et au-delà de toute raison
puisses tu rendre les armes ou pas...
les illusions et mon petit rêve d'enfant me servent de seconds
si, d'aventure, je m'égare dans ce désert dont tu t'entoures, je n'aurais qu'à suivre tes pas pour retrouver mon chemin
je m'entêtes, dis-tu? mais ce n'est que pour mieux t'apprivoiser et te manger tout cru
contentes toi de résister et de faire l'assiégé
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je finirais peut être par m'essoufler et vers d'autres rivages accoster,vers d'autres bras m'engager,
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aurevoir, petit rêve insensé, non sans regrets.
poème à trois dimensions
griffonné par
Mariouma
20 septembre 2007
Libellés : muse , petit poème en prose
2 ripostes trèès percutantes:
en un mot j'adore!
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