Complainte de la butte
Sur un air triste
Il a longtemps marché
Sur un air triste
Il a erré
Sur un air triste
Il s’est laissé entrainer
Par le mouvement de foule
Sur un air triste
Il a contemplé
Le monde tourner
Sur un air triste
Il a pleuré
Le soleil éclatant qui brille
Sur son cœur sombre et gris
Sur un air triste
Il s’est évanoui
Sous le poids des souvenirs
Sur un air triste
Il a longtemps rêvé
Sur cet air triste
Il a longtemps dansé
En fermant les yeux
En esquissant d’autres lendemains
Sur un air triste
Il a longtemps attendu
Sur un air triste
Il s’est saoulé
Au parfum de l’air du temps
A la lumière de la face blanche
…
Et un jour,
Elle est apparue.
« Sur cet air triste
Valsons, mon amour
Valsons
A deux, on est
Moins
Plus
Fous ».
Libellés : petit poème en prose
عرس بربري تقليدي
ما كنتش نتصور إني بش نعمل جو في عرس لهذي الدرجة. مستانسة نمشي بالسيف و نبدى نمرج بش انروح. أما العرس هذا (بدو) ما ندمتش اللي حضرتو طلعت نقرب لدار العروسة و أنا ما في باليش. الجو تعدى باهي برشا، الفرقة رايعة... هوما ثلاثة أخوة خليفة الدريدي و اخوتو من طينة جهة صفاقس.
حفلوها
في وسط دار عربي في المدينة في تونس، عم العروسة (اللي هي حليلتها برشا) حفلها بالشطيح و قصة أون لاين شبعنا تصاور و كاميرا
النساء الكل لابسي اللبسة الدويرية (م الدويرات، بلاد الوالد.... 30 كم على تطاوين)
و رصّاتلي أنا زاده لابسة كيف كيف، أما اللبسة اتدوخ و تعطي وهرة
انخلّي التصاور تعبّر خير منّي
نبداو باللبس قبل الحلي
التخليلة و إلا السفساري... من نوع البربوشي، على خاطر ثمة قبيلة عربية من شمال مالي و الفزّان الليبي اسمها البرابيش
ثمة أنواع: الجريدي، ركبي طير و جناح، الكموني و المجحود
السورية و إلا قمجة
و ما ننساوش مريول الفضيلة
و اللي يزيّن ألتخليلة: الحلي
نحب نشكر عم العروسة على هذا الجو الباهي و إن شاء الله فارحين ديمه
Libellés : ambiance tunisienne , berbere , spectacle , traditions et habits traditionnels
quand les "mauts" appellent à la mutinerie
Ce blog commence à sentir le roussi,
Le torchon brûle entre lui et casse noisette
Une odeur fétide s’élève et lui pique les yeux
Comme une odeur de poisson pourri
Ça part en c..lle
Les notes sont d’une tristesse, d’un pathétique
Le contenu est d’une mièvrerie, pétri de bons sentiments mielleux et niais
Cul-cul et nian nian
Non, casse noisette ne déprime pas,
Non elle ne pleure aucun amour perdu
(encore faut-il les avoir vécu)
Non, elle ne voit pas tout en noir
Et non, casse noisette n'est pas une incurable romantique
au lyrisme mal placé
Que les chansons ne vous trompent pas
Casse noisette ne fait que s’emmerder
A chier
Dans sa petite vie de fille bien rangée
Avec sur le dos, cette bonne vieille étiquette
Que l’on place sur vous à peine la bouche déclose
Qui la serre un peu trop
Aux cheveux bien coiffés et au parcours scolaire satisfaisant
Une fille bien comme il faut,
Le tout jugé à l’aune des valeurs en vigueur
Miauler jusqu’à ronronner
Miaou, miaou
Pour ne pas dire, ba333333
Bonne ou à jeter ?
Respectueuse des valeurs et des traditions
Des us et coutumes
(marre)
Et de bons nombres de superstitions
Des conneries de tout genre à remâcher
Pour la énième fois
Dans un ensemble vide
Hypocrite et fier de l’être
Ensemble ou l’on se perd volontiers
Aux joues rebondies, au visage peinturluré comme une voiture volée
A la tête et aux faces couvertes
Aux seins dénudés et aux cuisses écartées
Comme une terre que des milliers d’hommes ont foulée.
Cet espace, le sien, est le champ d’une presque enterrée
Semant ses petites pierres sur des sentiers
Au sens interdit
Loin des ses petits poèmes en prose de sucre et de vanille parfumés
Parfois, écrits et ânonnés
« Fonds toi dans le décor, ne fais pas de vague
Courbes-toi et fais des courbettes
Des entre-jambes
(Sans trop les ouvrir, ça se fait pas)
Souris bêtement en battant des cils
Et ferme la bouche quand on s’adresse à toi
Ce n’est surement pas par cela que tu brilleras
Vas-y fonds-toi dans ce moule
Ça te va comme un gant
Fais-le, je te dis,
Avec une sorte de masochisme forcené
Ferme les yeux et avale
Quitte à t’étouffer
Tout le monde s’en foutra
Comme de sa première paire de chaussures
Et vas-y qu’on en rajoute, et viens un peu par ici
Cerveau pas assez lavé, cul pas assez torché
Et un peu par là que je t’arrange le portrait
Merde, colore-toi au goût du jour
Comme un caméléon binoclard et mal luné
Ça te plaît pas ?
Pas grave, dégage !
Sourde à certaines réalités
Faire couler et se laisser couler
Pour ne plus y penser
Mal au crâne
Tout va bien, grâce à Dieu, à ses saints
Et à un bon nombre de ses protégés
Ce mot n’a de sens pour ceux qui ne l’ont jamais usé
Ce ne sont que des maux,
Rien que des mots dont casse noisette se drape
Contre le froid transi du vide
Contre ………. (prière remplir les pointillés au gré de la fantaisie)
vivre,
Mourir,
Dire,
Crier aux murs
et cracher en rêvant les yeux ouverts
pour mieux ravaler
(sale fille, pas polie)
Et de marcher en rêvant,
De voler et d’espérer
Au risque de se ramasser
Par la suite
(et voilà, on l’a prévenu pourtant)
Sa route, casse noisette la trace,
En vacillant
Comme un pauvre type
Trop bourré
En songeant à des lendemains qui chantent tout en pouvant aussi déchanter,
A des orages éclairés par quelques sourires heureux
Aux futurs souvenirs à écrire,
Et vite oublier
Aux futurs univers à rencontrer,
(Monde parallèles, arrêter de se farcir les programmes à la télé
Trop dangereux pour la santé)
Aux futures conneries à inventer
Aux futures âmes à aimer
Et à laisser sur le bord de la route
Si ce n’est le contraire qui va se passer
Aux douceurs que l’on apprivoisera
Et aux moments intenses que l’on volera
Entre deux passages à vide.
Faire peau neuve
Quitte à déchirer
Et laminer celle-là.
Pas la peine de comprendre
Et l’esprit, vous torturer
Passez votre chemin.
Le saint d’Esprit (et le père, et le fils et toute la cohorte de tout bord) n’y trouveraient rien à redire.
Et la suite……………….
Libellés : petit poème en prose
Seule et désesperée
Anais
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}
Ca dégouline d'amour,
C'est beau mais c'est insupportable.
C'est un pudding bien lourd
De mots doux à chaque phrases :
"elle est bonne ta quiche, amour"
"mon coeur, passe moi la salade"
Et ça se fait des mamours,
Se donne la becquée à table.
Ce mélange de sentiments
Aromatisé aux fines herbes
Me fait sourire gentiment
Et finalement me donne la gerbe !
Je hais les couples qui me rappellent que je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}
C'est un épais coulis
Ca me laisse le cul par terre
Autant de mièvrerie
Nappée de crème pâtissière
"coucou qu'est ce que tu fais mon coeur ?"
"la même chose qu'y a une demie heure... "
"j' t'ai appelé y a cinq minutes mon ange mais ça répondait pas...
Alors j' t'ai rappelé... pour la douzième fois de la journée...
En niquant tout mon forfait...
Mais qu'est ce que tu fais mon adoré ?
Ouais je sais on se voit après...
Non c'est toi qui raccroches... non c'est toi...
Non c'est toi qui raccroches... non c'est toi...
Non c'est toi... c'est toi ... bon d'accord je te rappelle... "
Je hais les couples qui se rappellent quand je suis seule !
Je déteste les couples, je les hais tout court !
Mon coeur, mon amour, mon amour, mon coeur {x2}
Libellés : mon opinion tout court
Déz-amours virtuelles
Une rencontre virtuelle
une affinité qui s'installe
un désir qui se forme à distance
Des sentiments naissants
une réciprocité des envies
barrières infranchissables
illusions,
chute de haut
Une histoire débute et part en clopinant
Sur un clavier
ou va-t-on?
Les sentiments peuvent-ils être aussi forts, aussi authentiques que dans cet ailleurs qui s’obstine à se dérober ?
Que fait-on des petits détails, des sensations, d’un regard, d’un geste, d’un baiser, des moments qui font le charme d’un contact physique ?
Chercher un peu d’amour virtuel est –ce signe d’un malaise ailleurs ?
Peut-on y croire quand le réel ne satisfait pas/peu ?
Signe de frustration, d’échec, de solitude ?
Conjuguer sa solitude à deux via clavier ?
Doit-on enterrer ses rêves pour se contenter de ce formatage, dans l’ère du temps ?
surfait, collage forcé, vouloir faire marcher pour pouvoir continuer à y croire?
seul, au milieu de nulle part, dans une faune de milliers de personnes?
A quoi ça sert d’avoir une tonne de contacts, de pseudos, d’adresses mails, d’opportunités virtuelles quand l’essentiel n’est pas garanti ?
Artificiel ?
Pathétique ?
Cynique ?
Chimérique ?
Triste à pleurer
et finir,encore une fois,par zapper.
Calo, lui, a déjà trouvé:
J'ai son image
J'ai son email
Son cœur au bout du clavier
J'ai son visage
Et l'envie d'elle
Sans jamais l'avoir touchée
Dois-je sauver ? (dois-je sauver ?)
Ou bien abandonner ?
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
Nos vies c'est le virtuel
Elle m'écrit
Mais mon écran
Formate les sentiments
Mais j'imagine qu'une machine
Ne peut que faire semblant
Ma déesse, elle (ma déesse, elle)
N'est pas vraiment belle
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Un ciel artificiel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel
Un peu d'amour, copié-collé
Un peu d'amour, pomme c
Un peu d'amour téléchargé
Un peu d'amour à sauver, à sauver
Mais l'amour n'est pas virtuel
Pomme, c'est un homme et une femme
Et c'est tout un programme
Mais l’amour n’est pas virtuel
Pomme, qui m'allume et qui me quitte
On s'aime trop vite
C'est le vi-c'est le virtuel
Dois-je sauver
Ou bien dois-je abandonner ?
Libellés : mon opinion tout court
je m'en vais
frénésie musicale, je ne sais plus comment arrêter l'hémorragie et puis moi qui me promettais de ne jamais poster plus d'une connerie par jour,
quelque chose ne doit pas tourner rond au royaume!
aux amateurs des futures ruptures tout proprettes et en finesse, ça peut servir!
l'autre rayé des fesses blanches reprend du service
Je me frotte les mains
En pensant à tout ça
Tout ce que je vais prendre
C'est du plaisir, que du plaisir.
Je me frotte les mains
En passant près de toi
Et je souffle dans ton cou
Comme un vampire
J'adore vivre depuis ce matin
Au creux de cette nuit vaincue
J'ai vu j'ai su que c'était foutu
J'adore vivre depuis ce matin
Depuis que je sais qui je suis
Que je te quitte que c'est fini
Je m'en vais ...
Je m'en vais ...
Je m'en vais ...
Je m'en vais ...
T'appelleras ça une mutinerie
Oui... j'ai précipité le capitaine par dessus bord
Et je mets le cap très loin très loin d'ici
Quand le bateau s'éloigne j'entends ses cris, encore
J'ai vu ton mouchoir blanc hissé
Derrière ton chagrin retranché
Je ne tirerai pas lâchement sur les blessés
Je ne suis pas encore mort
On ne s'est pas entretués
Alors je selle ma monture
Je repars a l'aventure
On s'est trimballés
De droite et de gauche
Entre extase et chagrin
Je te dis au revoir de la main
Non n'insistons plus non
Ça ne sers a rien
Cette sale histoire nous a fait les poches
Je te dis au revoir c'était bien
Tu étais presque belle
J'étais pas loin d'être fidèle
Notre histoire devait être
Un conte de fées
Tu étais presque belle
J'étais pas loin d'être fidèle
Notre histoire a failli
Tu titubes toute fripée
Mais je m'en vais
Libellés : petite chanson
la fausse blonde fait encore parler d'elle
le problème avec les copains et les copines, c'est que ça demande un entretien constant, beaucoup d'attention et surtout un coup de pouce pour les aider à démarrer parfois.
je me résigne et je m'y mets, mademoiselle blonde, fausse blonde s'essaie au story bord.
au moins avec ça, je ne me ferai pas disputer.
Libellés : mon opinion tout court
La fin du monde pour dans 10 minutes
Et si tu dansais toute nue mon amour
Et si tu dansais toute la nuit jusqu'au jour
Tes petites fesses blanches, tes petites fesses blanches
Et si tu ôtais ce petit bout de tissu
Juste me régaler de ton joli petit cul
Je n'ai pas les ailes blanches, je n'ai pas les ailes blanches
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Peut être sais-tu déjà pourquoi je te rôde autour
Quelque chose plus que tout me fait envie mon amour
Tes petites fesses blanches, tes petites fesses blanches
Ta langue est une danseuse qui se déhanche sur tes lèvres
Je voudrais d'abord la voir tourner dans ma bouche et je crève
De tes petites pêches blanches, tes petites pêches blanches
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
Je sais ce que je ferais si l'on m'annonçait la fin du monde pour dans 10 minutes
La lune juste pour moi découpe ton corps dans la nuit
Alors déchirant la pénombre ton petit cul blanc me sourit
Qui viendra dire après ça que le bon Dieu n'existe pas
p.s:Qui dit mieux?
Libellés : petite chanson
pour un champ de coquelicots
Dans un champ de coquelicots
J’ai erré
Je me suis perdue
J’avais l’air ridicule avec mon poème à deux balles sur un champ de coquelicot dans lequel je ne mettrais peut être jamais les pieds, essayant vainement de sortir quelque chose de réussi, en sachant parfaitement que ça ne venait pas et qu’il ne fallait pas insister, que c’était grave de ne pouvoir y arriver et qu’il fallait peut-être être malheureux pour écrire mieux.
Jusqu’à ce qu’elle me dise ce qu’il en était, qu’il ne fallait pas continuer à fermer les yeux devant ce qui était pourtant évident, que l’autarcie n’avait rien de bon et que les autres continuent à vivre, eux entre temps. Et je me suis trouvée tellement idiote et vaine à m’acharner sur quelques phrases pour mieux parader alors qu’au fond je n’en pense pas un mot.
J’ai erré et je me suis longtemps perdue. J’ai souvent pris les chemins de traverse en pensant que ça menait quelque part, emprunté les sentiers battus en pensant qu’ils sont moins ardus, cru à des milliers de choses mais jamais à l’essentiel, cherchant avec acharnement mais d’une manière intermittence à combler le trou en y mettant plein de fatras, pêle-mêle sans jamais trop savoir pourquoi.
Je m’y suis mise dans mon trou, bien confortablement et décidée à ne jamais en sortir, trop douillet et bien sécurisant, pataugeant dans la boue en lorgnant les étoiles.
J’ai erré
Et je me suis perdue.
Libellés : mon opinion tout court
Exclusivité en Tunisie : Premier vernissage blogospherique
Le passage de JØRGEN ALEKSANDER STARVIK, portraitiste norvégien très prisé en ce moment, en Tunisie fut un immense succès grâce a sa technique innovante new age de portraits de monde blogospherique.
Cette tendance à fouiller dans les écrits des bloggeurs, à capter les états d’âme de ce monde virtuel ou l’inconscient se découvre sur une pellicule soulève l’enthousiasme des internautes.
Quelques bloggeurs tunisiens se sont prêtés au jeu avec beaucoup de plaisir et d’excitation dans une ambiance bonne enfant. Le résultat fut intéressant et pour le moins étonnant.
Voici une galerie de ces œuvres les plus réussies.
-"alors bébé, chez toi ou chez moi?"
-"j'aurais du m'arrêter au promier verre!"
-"c'est qui le plus beau?"
-"yessssssss, je me marie dans trois mois!!!!!!"
-"nom d'une blonde, la recette est trop mauvaise ce soir!!!"
-"z'avez vous vu mes nouveaux z'amis?"
-"mais non je ne t'agresse pas!!!! et non, je ne suis pas en train de faire la tête!!"
Voila les pauvres bloggeurs traumatisés par cette expérience et qui n'ont rien compris au grand art
"ça c'est terminé chez elle! moi, j'assure!"
l'abus de schweeps est dangereux pour la santé
je vous l'avais bien dit!
pas si blonde que ça en fin de compte
finalement, on est mieux entre filles depuis que Clandestino nous a divorcé
P.S: Je tiens à remercier du fond du coeur Mr J.A Stavik pour sa gentillesse et sa bonne humeur. nous avons fortement apprécié la séance photo.
Je remercie également la fille qui ne manque pas d'air alias Astussa pour le plus gros du travail, le nouveau revêtement de mon chez moi et de m'avoir aidé pour le postage (c'etait une horreur, on a trop abusé du schweeps et on a failli s'endormir sur le clavier à plusieurs reprises sans oublier les coupures de l'adsl et ce plusieurs fois d'affilée).
Merci aux pauvres bloggeurs trainés bien malgré eux dans cette histoire farfelue, rien à faire, ils sont obtus et complètement fermés à toute forme d'art. c'est pas faute d'avoir essayé et d'avoir pris la pose
Libellés : spectacle , wou bleda werkeka
ObsessionS
we meet for a moment and then it's goodbye
but i just lived a liftime with you in my mind
what would it be to live in your world
if you were my boy and i was your girl
it's crazy this spell you have me under
i know it can't be but i'll always wonder
what would my life be living in your arms
i feel i'll never know
and what would you say
if i were to stay
and just go your way
this is where you lose your mind
and just let your heart unwind
you're blind don't lose control
you're mine don't lose it all
we meet for a moment and then it's goodbye
but i just lived a liftime with you in my mind
what would it be to live in your world
if you were my boy and i was your girl
it's crazy this spell you have me under
i know it can't be but i'll always wonder
what would my life be living in your arms
i feel i'll never know
and what would you say
if i were to stay
and just go your way
could you fill in the blanks in my story
tell me what im missing what you could be for me
what would i find if i followed your path
all the things i long for that i've never had
it's crazy this spell you have me under
i know it can't be but i'll always wonder
what would my life be living in your arms
i feel i'll never know
Libellés : mon opinion tout court
Il pleut
il pleut_ c'est merveilleux.Je t'aime.
Nous resterons à la maison:
Rien ne nous plaît plus que nous même
Par ce temps d'arrière saison.
Il pleut - les taxis vont et viennent.
On voit rouler les autobus.
Et les remorqueurs sur la Seine
Font un bruit... qu'on ne s'entend plus!
C'est merveilleux: il pleut. J'écoute
la pluie dont le crépitement
Heurte la vitre goutte à goutte...
Et tu me souris tendrement.
Je t'aime.Oh! ce bruit d'eau qui pleure,
Qui sanglote comme un adieu.
Tu vas me quitter tout à l'heure:
On dirait qu'il pleut dans tes yeux.
Francis Carco
Libellés : poésie